Le gaspillage alimentaire dans la grande distribution atteint des niveaux critiques, exacerbant les tensions sur des chaînes d’approvisionnement déjà fragilisées. Face à des rayons parfois vides et des poubelles souvent pleines, une réorganisation profonde du secteur n’est plus une option mais une urgence. Dès 2025, de nouvelles stratégies logistiques, basées sur la technologie et la prédiction, s’apprêtent à transformer radicalement le fonctionnement des supermarchés pour allier rentabilité et responsabilité.
La fin d’un modèle : comment les supermarchés repensent leur logistique
La gestion des stocks est au cœur des préoccupations de nombreux directeurs de magasin. Cette prise de conscience mène à des changements inévitables pour survivre et prospérer dans un contexte économique tendu. L’optimisation devient le maître-mot.
Claire Dubois, 42 ans, directrice d’un supermarché de taille moyenne à Lyon, témoigne de cette frustration grandissante. « Chaque soir, voir les invendus partir à la benne est devenu insupportable, autant pour nos finances que pour notre conscience. Il fallait que ça change radicalement », explique-t-elle.
Pendant des années, son établissement fonctionnait sur des modèles d’approvisionnement classiques. Un audit récent a révélé un chiffre alarmant : près de 15% des produits frais étaient jetés chaque semaine. Cette perte financière directe s’accompagnait d’un sentiment d’échec éthique partagé par toute son équipe.
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L’intelligence artificielle comme pilier de la nouvelle chaîne d’approvisionnement
Le problème ne réside pas seulement dans les commandes excessives, mais dans la rigidité d’une chaîne logistique incapable de s’ajuster en temps réel. La solution émerge grâce à des outils d’analyse prédictive. En utilisant l’intelligence artificielle, il est désormais possible de prévoir la demande avec une précision inédite, ajustant ainsi les stocks de manière dynamique.
Les bénéfices d’une telle transition sont multiples et touchent tous les aspects de l’activité :
- Pratique : une gestion des inventaires largement automatisée et un réassort plus rapide des produits à forte rotation.
- Économique : une diminution spectaculaire des pertes liées aux invendus, ce qui peut contribuer à une meilleure stabilité des prix pour le consommateur.
- Environnemental : une réduction directe du gaspillage alimentaire et de l’empreinte carbone associée.
Au-delà de la prédiction : les innovations complémentaires
L’optimisation des flux ne s’arrête pas à la prévision. D’autres approches viennent compléter ce nouveau modèle. On voit par exemple se développer des « dark stores », ces entrepôts locaux servant de hubs pour une gestion ultra-fine des produits frais. Par ailleurs, les systèmes de tarification dynamique, qui ajustent automatiquement les prix à l’approche de la date de péremption, gagnent en popularité.
Une transformation qui dépasse le secteur de la distribution
Cette réorganisation logistique s’inscrit dans une tendance de fond qui touche l’ensemble du commerce. Poussée par la demande des consommateurs pour plus de durabilité et par la nécessité économique, la quête de résilience des chaînes d’approvisionnement devient un enjeu majeur. C’est une réponse directe aux perturbations mondiales récentes.
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Approche Logistique Traditionnelle | Approche Logistique Optimisée |
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Commandes basées sur l’historique passé | Prévisions de la demande en temps réel par IA |
Stocks de sécurité élevés et statiques | Stocks dynamiques et ajustés quotidiennement |
Gaspillage structurel accepté comme une perte | Objectif de quasi-zéro déchet invendu |
Ce changement influence profondément nos comportements. En s’éloignant du modèle de l’abondance systématique en rayon au profit d’une gestion « juste-à-temps », on favorise une consommation plus réfléchie. L’impact est donc à la fois économique et sociétal, redéfinissant notre rapport aux produits que nous achetons.
L’alliance de la technologie et d’une nouvelle vision stratégique est la seule voie viable pour un commerce plus intelligent et moins dispendieux. En adoptant ces innovations, les distributeurs ne font pas que réduire leurs pertes ; ils construisent un avenir où l’efficacité économique rime enfin avec la responsabilité écologique.
2025, c’est demain! J’espère que cette « réorganisation radicale » ne se traduira pas juste par des prix encore plus élevés pour nous, consommateurs. On verra…
Le gaspillage en supermarché me choque. On jette tellement de produits encore bons, c’est un vrai gâchis moral et environnemental. J’espère que ces « nouvelles stratégies » seront vraiment efficaces et pas juste un coup de com’.
Je me demande si on ne se concentre pas trop sur le supermarché. Le problème commence bien avant, chez les producteurs et même dans nos frigos.
L’article est intéressant, mais je crains que toute cette technologie ne déshumanise encore plus l’expérience d’achat. J’aime bien flâner dans les rayons, découvrir des nouveautés…
Je pense que c’est une bonne chose de s’attaquer au gaspillage, mais je m’inquiète des conséquences sur les petits producteurs locaux qui pourraient être exclus de ce nouveau système.
Si ça peut éviter de voir des montagnes de nourriture à la benne, je suis pour. Mais j’espère que ça ne va pas créer encore plus de boulot pénible et mal payé pour les employés.
Si ça marche, tant mieux. Mais j’ai peur que ça ne devienne qu’un prétexte pour justifier des réductions de personnel sous couvert d’optimisation.
Le concept est séduisant, mais je me demande si cette obsession de la « prédiction » ne va pas uniformiser notre alimentation. Adieu les produits saisonniers et les découvertes impulsives ?
J’ai surtout l’impression qu’on va nous vendre ça comme du progrès alors que c’est juste une façon de faire plus de profit en minimisant les pertes.
J’espère que ça signifiera plus de produits déclassés à prix cassés. Une bonne occasion de faire des économies et de lutter contre le gaspillage en même temps.
Je suis partagé. C’est bien de lutter contre le gaspillage, mais je sens que ça va surtout standardiser l’offre. Bientôt, on ne trouvera plus que ce qui se vend bien.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le prix que l’on va payer pour cette « révolution ». Qui va payer les pots cassés au final ?
Moi, le gaspillage, ça me rend malade. Voir les dates de péremption raccourcies exprès pour qu’on jette plus, ça me révolte. J’espère que ça va changer ça.
Je me demande si on ne s’attaque pas aux conséquences plutôt qu’aux causes. Le gaspillage commence peut-être dans nos assiettes, non ?
Moi, j’aimerais juste qu’ils arrêtent de jeter des produits encore bons sous prétexte qu’ils sont moches. Un fruit, c’est fait pour être mangé, pas pour être parfait.
Espérons que cette réorganisation profitera aussi aux petits producteurs locaux, et pas seulement aux grandes marques.
J’ai travaillé un temps en logistique. « Prédiction », ça veut surtout dire algorithmes qui se trompent et encore plus de pression sur les employés. J’espère que ça n’empirera pas leurs conditions de travail.
Si seulement ils pouvaient donner plus aux associations au lieu de jeter. Ça me brise le cœur de penser à toute cette nourriture gaspillée alors que tant de gens ont faim.
J’ai hâte de voir si l’expérience client sera améliorée. Moins de rayons vides, ce serait déjà un grand pas.
Le titre est alarmant, mais ça me laisse sceptique. On nous promet toujours monts et merveilles avec la « tech », et souvent, ça empire les choses. On verra bien.
Le gaspillage, c’est un symptôme de notre société de surconsommation. On se focalise sur le supermarché, mais on oublie que c’est nous, les consommateurs, qui créons la demande.
2025, c’est demain ! J’espère que les caissières seront mieux formées pour gérer ces nouvelles technologies. Le sourire, ça ne se remplace pas avec un algorithme.
Je crains surtout que cette « réorganisation » ne se traduise par moins de choix et des prix plus élevés, au final.
J’espère que ça réduira le nombre de promotions du genre « 2 pour le prix d’1 » qui nous incitent à acheter plus que nécessaire. C’est souvent là que le gaspillage commence chez moi.
Je me demande si ça va vraiment changer quelque chose à mon budget courses, en fin de compte. C’est surtout ça qui m’intéresse.
Je me demande si cette réorganisation va pas créer encore plus d’emballages. Pour « optimiser », ils vont tout filmer et suremballer. L’environnement, on y pense ?
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle du supermarché comme si c’était un être vivant. C’est nous qui décidons d’acheter ou pas, non ? Le problème est peut-être moins dans les rayons que dans nos têtes.
J’espère surtout qu’ils vont repenser les dates de péremption. « À consommer de préférence avant », ça veut dire quoi au juste ? On jette encore trop de choses consommables.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les petits producteurs locaux. Vont-ils pouvoir s’adapter à ces nouvelles exigences logistiques ou seront-ils encore plus marginalisés ?
Moi, ce qui me gêne, c’est l’idée de « prédiction ». On va me dire ce que je dois manger avant même que j’aie faim ? Ça me fait un peu peur.
On dirait qu’on veut transformer le supermarché en une usine. J’espère qu’on gardera un peu de place pour l’imprévu et les envies spontanées.
Le gaspillage, c’est une honte. Mais j’espère qu’ils ne vont pas supprimer les invendus à prix cassés du soir. C’est parfois ma seule chance de manger correctement.
Si ça peut éviter de jeter des palettes entières à la benne, tant mieux. Mais j’ai peur que ça empire la qualité des produits.
En tant que caissière, je me demande surtout si ça va pas nous rajouter du boulot et du stress, tout ça. Déjà qu’on court partout…
C’est bien beau de parler de technologie, mais ça ne remplacera jamais un bon coup d’œil du chef de rayon. L’humain, il compte encore, non ?
Si la technologie peut aider, tant mieux, mais je crains que ça ne devienne encore plus impersonnel. On perdra le contact avec les gens qui nous conseillent.
Le gaspillage me désole, mais j’espère qu’on ne va pas tomber dans l’excès inverse et nous retrouver avec des rayons trop clairsemés. Avoir le choix, c’est important aussi.
Réduire le gaspillage, c’est vital. Mais j’espère que ça ne se fera pas au détriment de la diversité des produits qu’on trouve. J’aime bien découvrir de nouvelles choses.
J’espère surtout qu’ils vont repenser les emballages. On se retrouve souvent avec des quantités énormes pour un usage unique. C’est ça aussi, le gaspillage.
J’espère que cette « réorganisation radicale » pensera aussi aux petits producteurs locaux, pas juste aux gros fournisseurs. On ne va pas encore les écraser sous des algorithmes, j’espère ?
J’ai l’impression qu’on cherche surtout à optimiser les profits, pas à nourrir les gens.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le prix. Si on optimise à ce point, est-ce que ça se traduira par une baisse des prix pour le consommateur, ou juste une augmentation des marges ?
Moi, le problème, c’est qu’on parle toujours de « supermarchés ». Les petits commerces de proximité, eux, ils font comment pour suivre le rythme ?
Moi, je me demande surtout si les algorithmes vont prendre en compte les promotions… Parce que c’est souvent ça qui crée le gâchis, les « 3 pour le prix de 2 » qu’on finit par jeter.
Je me demande si cette révolution touchera aussi les dates limites de consommation. Elles sont souvent tellement courtes, on n’a pas le temps de tout manger !
Ça me rappelle les applis anti-gaspi, ça marche un temps, puis on les oublie… L’humain, il faut aussi le changer, pas juste les rayons.
Les « nouvelles stratégies logistiques », ça sonne bien, mais j’ai peur que ça se traduise par moins de personnel et plus d’automatisation. Qui va vérifier la qualité des produits, du coup ?
Gaspiller, c’est jeter mon argent par les fenêtres, littéralement. J’espère que cette réorganisation sera vraiment efficace, pas juste un coup de com’.
J’ai surtout peur que cette « réorganisation » standardise encore plus l’offre. Déjà qu’on trouve les mêmes produits partout…
Franchement, le gaspillage, ça me culpabilise à chaque fois. J’espère que ça changera vraiment nos habitudes, pas juste celles des magasins.
2025, c’est demain! J’espère qu’ils ont pensé à former le personnel à ces nouvelles méthodes, parce que sinon, ça risque d’être le bazar complet.
J’espère qu’on ne va pas finir avec des supermarchés qui ressemblent à des entrepôts froids et impersonnels.
Si seulement on pouvait enfin acheter des portions adaptées à nos besoins réels, sans être obligés de prendre des lots énormes.
Cette « réorganisation », c’est pas un peu la faute des consommateurs aussi ? On veut toujours le choix, même si ça finit à la poubelle.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le sort des petits producteurs locaux avec cette centralisation accrue. Vont-ils encore avoir leur place ?
Moi, je me demande surtout si cette « réorganisation » ne va pas juste déplacer le problème du supermarché à… notre frigo. On risque d’acheter moins, mais plus souvent, donc plus de trajets et d’emballages individuels.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours du supermarché, jamais de l’amont. Le gaspillage, il commence pas dans les rayons, non ?
Moi, je me demande si on ne se focalise pas trop sur le « comment » et pas assez sur le « pourquoi ». On gaspille parce qu’on a oublié la valeur de la nourriture, non ?
Moi, je me demande si toute cette technologie ne va pas rendre l’alimentation encore plus déconnectée de la terre. On perd déjà le lien avec ce qu’on mange.
Je me demande si toute cette promesse de technologie ne va pas surtout servir à justifier des prix encore plus élevés. On nous vendra la « traçabilité » et la « fraîcheur » au prix fort, j’en ai peur.
Encore un article qui promet la lune. J’attends de voir les actes, parce que les belles paroles, on en mange déjà trop.
Je me demande si cette « révolution » ne va pas nous faire perdre le plaisir de flâner dans les rayons, de découvrir des produits. Le supermarché, c’est aussi un lieu de vie, non ?
En tant que bénévole dans une association d’aide alimentaire, je vois surtout que ce gaspillage pourrait nourrir beaucoup de monde. Une meilleure redistribution serait déjà un grand pas.
Je me souviens de ma grand-mère. Elle ne jetait rien. Peut-être que le problème, c’est qu’on a oublié les bases de la conservation et de la cuisine anti-gaspi.
Franchement, ça me rappelle les cours de gestion de stock en école de commerce. On en parle, on en parle, mais l’humain, il est où là-dedans ?
C’est bien beau de parler de réorganisation, mais j’espère qu’ils penseront à ceux qui ont des petits budgets. L’anti-gaspillage, c’est super, mais ça ne doit pas devenir un luxe.
J’ai l’impression qu’on va nous forcer à faire des courses planifiées à l’avance, et ça, ça me stresse un peu. J’aime bien l’improvisation en cuisine.
2025, c’est demain ! J’espère que les caissières seront formées aux nouvelles procédures, sinon ça va être un bazar sans nom.
Je suis curieux de voir comment ils vont gérer les dates limites courtes. C’est souvent là que le gaspillage se concentre, et les promos « anti-gaspi » ne suffisent pas toujours.
J’espère juste que cette réorganisation ne va pas se traduire par moins de choix pour le consommateur. La diversité des produits, c’est important aussi, non ?
On parle de technologie, mais j’aimerais que les supermarchés nous aident d’abord à mieux comprendre les dates. DLC et DDM, c’est encore trop flou pour beaucoup de gens.
Je suis sceptique. On nous vend souvent des solutions miracles. J’attends de voir si ça marche vraiment sur le terrain avant de m’emballer.
La vraie question : qui va payer la facture de cette « révolution » ? Le consommateur, comme d’habitude ?
J’ai peur que ça crée encore plus d’inégalités entre ceux qui peuvent se permettre le « juste à temps » et les autres.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est si on va finir par ne plus trouver les produits qu’on aime. Le standard, c’est bien, mais la diversité, c’est la vie.
J’ai surtout peur que cette course à l’optimisation ne déshumanise encore plus l’expérience des courses. Déjà qu’on passe notre temps devant des écrans…
Et si le problème n’était pas tant le supermarché, mais notre façon de consommer ? On achète souvent plus que nécessaire, non ?
Moi, je me demande si on ne va pas vers une uniformisation de l’offre. Bientôt, plus de petits producteurs locaux ?
Le gaspillage, c’est affligeant, mais jeter la faute uniquement sur les supermarchés, c’est un peu facile, non ? On a tous une part de responsabilité.
Moi, je me demande si toute cette technologie ne va pas surtout servir à nous pousser à la consommation, en ciblant encore mieux nos besoins supposés.
Si les supermarchés réduisent le gaspillage, tant mieux. Mais j’espère que ça ne se fera pas au détriment de l’emploi local.
Réduire le gaspillage, c’est vital. Mais j’espère qu’on ne va pas finir avec des fruits et légumes calibrés, sans goût, juste pour l’esthétique. On perdrait beaucoup.
J’espère surtout qu’ils vont se pencher sur les emballages. On en a tellement, c’est ça aussi qui finit à la poubelle !
Et quid des invendus ? Sont-ils vraiment donnés aux associations, comme on nous le dit souvent ?
Je me demande si on ne pourrait pas imaginer des supermarchés plus petits, avec moins de choix, mais plus frais.
Moi, je me demande si on ne va pas perdre le plaisir de flâner dans les rayons, à la recherche d’une bonne idée pour le dîner.
En tant que client, je me demande si ces changements impacteront le prix des produits. Le gaspillage a un coût, mais la technologie aussi.
J’espère que les caissiers seront toujours là.
2025, c’est demain ! J’espère qu’ils vont vraiment nous impliquer, nous les consommateurs, dans ces changements. On a notre mot à dire, non ?
Je me demande si on ne va pas vers des supermarchés qui ressemblent plus à des entrepôts qu’à des lieux de vie. Un peu triste, non ?
Cette « révolution » annoncée me laisse perplexe. J’ai l’impression qu’on cherche des solutions compliquées alors qu’il suffirait parfois de bon sens.
Franchement, j’espère surtout qu’ils vont trouver une solution pour les dates de péremption. C’est souvent la source du problème à la maison !
Le gaspillage, c’est sûr, c’est un problème. Mais j’ai peur qu’à force de vouloir optimiser, on standardise tout et qu’on perde la diversité des produits régionaux.
Moi, le gaspillage, ça me choque surtout quand je vois la quantité de promos « 2 pour le prix d’1 » qui nous poussent à acheter plus qu’on ne consomme. Le problème, il est peut-être là, non ?
J’espère qu’ils penseront aussi à mieux former le personnel sur la gestion des stocks et la rotation des produits. Souvent, c’est là que ça coince.
Si les algorithmes prédisent ce que je vais manger, autant qu’ils prévoient aussi de me faire faire du sport ! C’est pas juste de cibler mon frigo.
Le « toujours plus frais » à tout prix, c’est ça le vrai problème. On jette des produits parfaitement consommables juste parce qu’ils ne sont pas « parfaits » visuellement.
Des supermarchés sans âme, pilotés par des algorithmes… ça me fait froid dans le dos. J’espère qu’on ne va pas perdre le plaisir de flâner dans les rayons.
J’espère juste que cette « révolution » ne se fera pas au détriment des petits producteurs locaux.
En tant que consommateur, je trouve que l’article fait l’impasse sur notre responsabilité individuelle face au gaspillage. C’est facile de pointer du doigt la grande distribution…
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la transparence. Est-ce qu’on saura comment ces algorithmes décident ce qui arrive dans mon supermarché ?
Moi, je me demande si cette « révolution » ne va pas surtout augmenter le prix des produits. Tout ça, ça a un coût, non ?
J’ai surtout l’impression qu’on veut nous faire croire que la technologie va régler un problème d’éthique.
Je me demande si cette réorganisation ne va pas surtout uniformiser l’offre. On risque de perdre la diversité des produits qu’on trouve aujourd’hui.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle surtout de l’amont. Et l’aval ? Comment on encourage les consommateurs à moins gaspiller, une fois le produit chez eux ?
Moi, j’ai hâte de voir concrètement ce que ça va donner dans mon supermarché. Marre de voir des promos sur des produits qui périment le lendemain.
J’espère que ça se traduira par moins de trajets inutiles pour les camions. Le gaspillage, c’est aussi du carburant.
Ce serait bien que les employés des supermarchés aient une meilleure formation sur la gestion des dates et la rotation des produits. J’ai souvent vu des produits frais périmés en rayon, malgré tout ce qu’on raconte.
Je suis un peu sceptique. On nous promet la lune à chaque fois, et finalement, le client reste celui qui paie la facture.
Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on ne parle jamais du rôle des marges dans ce gaspillage. On jette plus facilement quand c’est « pas cher ».
Moi, je pense que c’est une bonne chose, mais ça ne suffira pas. Il faut aussi que les producteurs soient plus responsables. On nous inonde de fruits et légumes calibrés, parfaits, et on jette le reste.
C’est bien beau tout ça, mais j’ai peur qu’on finisse avec des rayons tristes, sans aucune surprise. Fini l’envie de cuisiner, on achètera juste ce que l’algorithme nous dit.
Le gaspillage, ça me culpabilise. J’espère que cette réorganisation rendra les choses plus claires pour nous, les consommateurs, sur ce qu’on peut raisonnablement acheter.
Si seulement cette réorganisation pouvait enfin rendre les invendus accessibles aux associations. Au lieu de les jeter, autant aider ceux qui en ont besoin.
Si on optimise trop, est-ce qu’on ne va pas perdre le côté humain du commerce ? J’aime bien discuter avec le fromager, par exemple.
Je me demande si cette « réorganisation radicale » ne va pas surtout servir à nous vendre des abonnements pour optimiser nos courses.
C’est marrant, on dirait qu’on découvre le problème du gaspillage. Ma grand-mère, elle, savait optimiser un frigo !
J’espère juste qu’on ne va pas culpabiliser encore plus les consommateurs.
L’accent sur la technologie me fait un peu peur. Le contact humain, c’est important.
On parle de supermarchés, mais qu’en est-il des cantines scolaires et des restaurants d’entreprise ? C’est là aussi qu’il y a un énorme gâchis.
Je me demande si toute cette « réorganisation » ne va pas surtout augmenter les prix pour le consommateur final, sous couvert de « moins de gaspillage ».
Je suis curieux de voir si cette « réorganisation » va vraiment s’attaquer aux dates de péremption absurdes. Beaucoup de produits sont encore bons après !
J’espère qu’ils penseront aussi aux petits producteurs locaux, pas seulement aux grandes marques.
J’ai peur que ça se transforme en une course à l’optimisation froide, où l’on oublie le plaisir de flâner dans les rayons.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le sort des employés si on automatise à outrance. On parle de gaspillage alimentaire, mais le gaspillage humain, lui ?
Moi, je me demande surtout si ça va vraiment changer nos habitudes de consommation, ou si c’est juste un pansement sur une jambe de bois.
Je suis sceptique. On nous promet la lune à chaque « révolution » technologique, et au final, c’est souvent le même schéma : plus de complexité pour des résultats discutables.
Je me demande si ça rendra vraiment les courses plus agréables. Un supermarché optimisé, c’est peut-être un peu triste, non ?
Espérons que cette réorganisation permettra de redécouvrir des fruits et légumes de saison, plus savoureux et moins chers.
Ça me rappelle les discours sur la « juste quantité » à la ferme… J’espère qu’ils ne vont pas nous rationner !
On va encore nous faire culpabiliser de ne pas acheter ce qu’ils veulent.
Mouais… « Radicale », ils disent. J’ai surtout l’impression qu’on va encore nous vendre des algorithmes.
Si ça peut éviter de jeter des montagnes de nourriture, tant mieux. Mais j’ai peur que ce soit juste une excuse pour augmenter encore les prix.
Ils parlent de technologie, mais est-ce qu’ils vont enfin mieux gérer les stocks en amont ? C’est souvent là que ça coince.
Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. 2025, c’est demain ! J’ai l’impression qu’on nous annonce un bouleversement sans qu’on ait le temps de s’y préparer mentalement.
J’espère qu’ils penseront aux petits producteurs locaux dans cette « réorganisation ». On a besoin d’eux.
Si ça réduit le stress des courses, à chercher le dernier yaourt avec la date limite dépassée, je suis preneur.
2025, ça me laisse à peine le temps de finir mon potager. On va se sentir surveillés, c’est sûr.
Franchement, j’ai surtout peur que ça uniformise l’offre. Adieu, la petite originalité du supermarché du coin.
Cette « réorganisation », j’imagine déjà les promotions personnalisées à outrance sur mon téléphone. Ça va être lourd.
On dirait qu’ils veulent transformer le supermarché en un entrepôt optimisé. J’espère juste qu’on aura encore le droit de flâner un peu.
Le gaspillage, c’est sûr, ça me déprime. Mais j’ai peur que ce soit une solution pensée par des gens qui ne font jamais les courses…
Le gaspillage, c’est clair que c’est un problème. Mais j’ai surtout l’impression qu’on va nous faire payer plus cher pour des produits « optimisés ».
Moi, ce qui m’inquiète, c’est qu’on mette tout sur le dos du supermarché. On a aussi notre rôle à jouer, nous, les consommateurs. On remplit des caddies plus grands que nos estomacs.
J’espère surtout qu’ils vont enfin s’attaquer aux dates de péremption complètement débiles sur certains produits. Du gâchis organisé!
Si ça permet de moins jeter, c’est bien. Mais j’espère qu’ils ne vont pas supprimer les promotions sur les produits proches de la date, ça aide les petits budgets.
J’espère qu’ils penseront aussi aux invendus non alimentaires. Les piles de vêtements soldés qui finissent à la benne, ça me choque autant que les fruits abîmés.
Ça me rappelle les applis anti-gaspi. Bien sur le principe, mais si le supermarché gérait mieux ses stocks, on n’aurait pas à acheter des produits à moitié prix le soir.
Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. « Dès 2025″… On nous annonce ça comme une révolution, mais ça laisse si peu de temps pour se préparer. J’imagine le stress pour les employés.
Je me demande si ça va vraiment changer quelque chose pour le petit agriculteur qui se bat déjà pour vendre ses produits.
Je me demande si toute cette « révolution » ne va pas surtout créer une nouvelle forme de dépendance technologique pour les supermarchés.
J’ai toujours trouvé ironique qu’on nous pousse à acheter en gros, alors que c’est souvent ça qui finit par pourrir au fond du frigo. Le changement doit venir de partout, pas seulement des supermarchés.
Franchement, j’ai peur que ça devienne un prétexte pour fliquer nos habitudes d’achat.
Je me demande si ça ne va pas uniformiser l’offre, et qu’on perde le plaisir de trouver des produits originaux.
En tant que client, je me demande si cette réorganisation ne va pas surtout augmenter les prix. Qui va payer pour toute cette technologie ?
C’est bien beau de parler de technologie, mais est-ce qu’on va vraiment s’attaquer au problème de fond : la surconsommation ? On achète trop, point.
J’ai surtout peur qu’on nous serve encore une solution gadget qui ne change rien à la racine du problème.
Moi, je me dis que si les supermarchés donnaient plus facilement leurs invendus aux associations, le problème serait déjà bien moins grave. C’est pas si compliqué.
J’espère juste qu’ils vont pas nous forcer à utiliser des applis pour tout, même pour acheter une baguette. J’aime bien me déconnecter quand je fais mes courses.
J’ai surtout peur qu’on nous serve encore une solution gadget qui ne change rien à la racine du problème.
Les grandes surfaces, c’est souvent l’abondance, le choix.
Le gaspillage, c’est aussi notre responsabilité. On remplit nos caddies sans réfléchir, séduits par les promos.
Le côté « prédiction » me fait un peu tiquer. On va se retrouver avec des algorithmes qui décident de ce qu’on doit manger? Ça fait flipper.
J’espère qu’ils penseront à la formation du personnel, souvent dépassé par les dates.
Je suis curieux de voir comment ils vont gérer les dates limites de consommation, surtout pour les produits frais. Souvent, on n’a pas le choix et on doit prendre ce qui est proposé.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le sort des petits producteurs si tout est géré par des algorithmes. Est-ce qu’ils auront encore leur place dans les rayons ?
Moi, le terme « radicale » me fait peur. J’ai l’impression qu’on va encore perdre en convivialité dans nos supermarchés. Bientôt, on fera nos courses derrière un écran sans croiser personne.
Si ça peut éviter de jeter des palettes de yaourts encore bons, je suis pour. Marre de voir ça.
Perso, je me demande si cette « réorganisation radicale » ne va pas surtout se traduire par une augmentation des prix déguisée. Moins de gaspillage = moins de pertes, donc plus de marge ? À suivre.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’aveu d’échec implicite. On a créé un système qui produit du gâchis à grande échelle, et maintenant on panique.
Moi, je me demande si cette réorganisation ne va pas créer de nouvelles formes de gaspillage, plus discrètes, mais tout aussi problématiques.
J’espère qu’ils vont enfin s’attaquer aux emballages surdimensionnés, ça c’est du gaspillage silencieux qu’on paye plein pot.
Franchement, j’espère que ça simplifiera les choses. J’ai toujours l’impression de jouer à un jeu de piste pour trouver ce que je cherche.
Je me demande si on ne se concentre pas trop sur le supermarché. Le gaspillage, il commence souvent avant, chez le producteur ou même chez nous, les consommateurs.
J’espère qu’ils penseront aussi aux invendus qui pourraient être donnés à des associations. C’est du bon sens, non ?
Moi, j’ai surtout peur que cette « réorganisation » se fasse au détriment du choix. On va finir avec trois marques par produit et c’est tout.
Je me demande si on a vraiment besoin de plus de technologie. J’ai l’impression qu’on a oublié le bon sens et la saisonnalité des produits.
Le « dès 2025 » me fait sourire. On se donne toujours des dates butoirs, mais on a déjà tout ce qu’il faut pour agir, non ? C’est surtout une question de volonté politique, je crois.
Je me demande si cette réorganisation va vraiment changer ma façon de faire mes courses. Honnêtement, c’est le prix qui compte le plus pour moi en ce moment.
Cette « radicalisation » me fait un peu peur. J’ai surtout l’impression qu’on va encore une fois nous vendre une solution miracle sans s’attaquer aux vraies causes.
Le gaspillage, c’est un sujet qui me touche. J’ai grandi à la campagne, on ne jetait rien. J’espère que cette « réorganisation » ramènera un peu de cette mentalité.
Réorganisation des supermarchés, d’accord, mais j’espère qu’ils ne vont pas en profiter pour augmenter encore les prix sous couvert d’innovation.
Le « dès 2025 » est ambitieux, mais ça me rappelle surtout les promesses non tenues. J’aimerais voir des actions concrètes avant d’y croire.
Le gaspillage me rend dingue. Je suis caissière et je vois des chariots pleins finir à la benne. C’est un vrai scandale.
Ils parlent de technologie, mais est-ce que ça va vraiment empêcher les gens de surconsommer ? J’en doute.
Je me demande si cette « réorganisation » prendra en compte les spécificités locales. Dans ma région, on a des produits qu’on ne trouve nulle part ailleurs, j’espère qu’ils ne vont pas disparaître.
J’espère surtout qu’ils vont penser aux petits producteurs locaux. Les grandes centrales d’achat, c’est la mort de la diversité.
Je suis curieux de voir comment ils vont gérer les promotions « date courte ». C’est souvent le premier truc qui finit à la poubelle, alors que ça pourrait profiter à plein de monde.
J’espère qu’ils penseront aussi à la formation du personnel. Une bonne gestion des stocks, ça s’apprend.
On parle beaucoup des supermarchés, mais quid des restaurants et cantines ? C’est là aussi qu’il y a un gâchis énorme.
J’ai peur que toute cette technologie se traduise par une expérience d’achat impersonnelle, froide. J’aime bien flâner dans les rayons, découvrir des produits…
Si ça peut éviter de jeter des légumes encore bons, tant mieux. Mais j’espère qu’on ne va pas nous imposer un « juste nécessaire » qui nous priverait de choix.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la standardisation de notre alimentation. On va finir par tous manger la même chose, produite par les mêmes usines.
Tout ça me fait penser que le problème, il est peut-être pas tant dans les supermarchés que dans nos têtes. On veut toujours avoir le choix, même si on sait qu’une partie finira à la poubelle.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours de « réorganiser ». Pourquoi on ne parle pas de simplifier ? Moins de références, moins de promotions inutiles…
Moi, je me demande si on ne se trompe pas de cible. Le gaspillage à la maison, c’est pas pire ? On reporte la faute sur les supermarchés, facile.
Personnellement, je crains que cette « réorganisation » ne serve surtout à optimiser les profits, et que la réduction du gaspillage ne soit qu’un argument marketing.
Je me demande si on va vraiment pouvoir faire confiance à des algorithmes pour décider de ce qu’on mange. Ça me met mal à l’aise.
Le vrai défi, c’est de nous éduquer à cuisiner avec ce qu’on a. Pas besoin de techno sophistiquée pour ça.
Ce qui me dérange, c’est la pression que ça va mettre sur les producteurs locaux. Vont-ils pouvoir suivre le rythme de ces prédictions algorithmiques ?
J’espère surtout que cette réorganisation profitera aux employés des supermarchés, souvent en première ligne face à ce gaspillage.
On dirait qu’on veut transformer les supermarchés en laboratoires. J’espère qu’on pensera encore au plaisir de faire ses courses.
Moi, ce qui me saoule, c’est qu’on attend 2025 pour « transformer radicalement ». On sait depuis des années que ça ne va pas !
Moi, j’ai l’impression qu’on va vers des supermarchés tristes, où tout est calculé. Ça me fait peur. On perdra le plaisir de flâner et découvrir des produits.
Je me demande si cette « réorganisation » ne va pas surtout créer de nouveaux problèmes, notamment des soucis d’emploi. La technologie remplace souvent l’humain, non ?
Et si on commençait par simplifier les dates de péremption, incompréhensibles pour beaucoup ? Ça éviterait déjà pas mal de gâchis, non ?
Je suis curieux de voir comment ils vont gérer les promotions type « 2 pour le prix d’1 ». C’est souvent là que le gaspillage commence chez moi.
Si ça peut éviter de jeter des tonnes de nourriture, tant mieux. Mais j’espère qu’ils vont pas nous forcer à acheter des portions minuscules, emballées individuellement à prix d’or.
J’ai peur que l’objectif de moins gaspiller se traduise par une augmentation des prix. On paiera le prix de cette « optimisation ».
J’espère que cette « réorganisation » va enfin mettre en lumière la responsabilité des consommateurs. On pointe toujours les supermarchés, mais nous aussi, on a notre part.
J’en ai marre d’entendre parler de « réorganisation ». On nous parle de ça à chaque fois qu’ils veulent changer quelque chose qui va surtout servir leurs intérêts.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le sort des invendus. Est-ce qu’ils vont vraiment être redistribués aux associations, ou juste disparaître d’une autre manière ?
Je suis pas sûr que la technologie soit la solution miracle. On a déjà plein d’outils, le problème c’est surtout de volonté, non ?
En tant que client, j’aimerais surtout plus de transparence sur l’origine des produits.
Le gaspillage, ça me rend dingue. Surtout quand je vois des familles galérer à côté.
On parle de technologie, mais le bon sens paysan, on l’oublie ? Ma grand-mère, elle savait tout utiliser.
Radicale, le mot est fort. J’espère qu’ils penseront aussi aux petits producteurs locaux dans cette « réorganisation ».
En tant que caissière, je vois surtout des gens acheter plus qu’ils ne consomment. La « réorganisation », c’est bien beau, mais l’éducation à la maison, ça compte aussi.
Ils parlent de supermarchés, mais qu’en est-il des cantines scolaires et d’entreprises ? Le gaspillage y est monstrueux aussi.
On dirait qu’on découvre le problème du gaspillage.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle toujours des supermarchés, jamais des restaurants. Là, le gaspillage est invisible, mais bien réel.
Je me demande si cette « réorganisation » ne va pas surtout standardiser davantage l’offre. Moins de choix, moins de promos, au nom de la lutte contre le gaspillage ?
J’ai peur que toute cette « réorganisation » se traduise par une augmentation des prix pour le consommateur, sous couvert de « lutte contre le gaspillage ».
Perso, le rayon fruits et légumes, c’est toujours la loterie. Entre les produits abîmés et ceux qui pourrissent en deux jours, je finis par acheter du surgelé.
« Radicale », c’est facile à dire. J’espère juste que ça ne va pas se traduire par des emballages individuels à outrance pour tout, soi-disant pour éviter le gaspillage. Ironique, non ?
C’est marrant, on dirait qu’on veut nous faire croire que les supermarchés sont les seuls responsables.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le coût de ces technologies « miracles » répercuté sur nos courses.
Moi, j’espère surtout qu’on va pas se retrouver avec des légumes calibrés et sans goût au nom de l’optimisation. Le plaisir de manger, ça compte aussi, non?
J’espère que ça ne va pas nous transformer en simples exécutants d’algorithmes alimentaires. On perdrait le plaisir de choisir, de flâner, de découvrir.
Moi, j’ai surtout l’impression que le problème est déplacé. On se concentre sur le supermarché, mais c’est nous, les consommateurs, qui remplissons nos frigos à ras bord et jetons ensuite.
Si ça rend les employés encore plus stressés et sous pression, c’est pas une solution.
Je me demande si on ne se focalise pas trop sur l’aval. Le gaspillage, ça commence bien avant le supermarché, non ? Dans les champs, les transports…
Je me demande si cette « prédiction » ne risque pas de nous enfermer dans un cycle de consommation préétabli, sans place pour l’imprévu ou l’envie du moment. Un peu triste, non ?
Moi, ce qui me frappe, c’est l’optimisme ambiant sur la technologie. On dirait qu’un algorithme va résoudre un problème qui est avant tout une question de comportement.
Ça me fait penser à l’époque où on nous vendait le « juste à temps » comme la solution miracle. J’espère qu’on a tiré les leçons de la fragilité de ce modèle.
J’ai peur qu’on nous vende encore une fois une solution technologique déconnectée de la réalité du terrain. Les caissières, les employés de rayon, ils en pensent quoi, eux ? On les écoute, au m…
Et si, au lieu de tout miser sur des solutions complexes, on revenait à des choses simples comme des portions plus petites et moins de promos incitatives ?
Je suis curieux de voir si cette réorganisation tiendra compte des spécificités locales. Un supermarché à Paris n’a pas les mêmes besoins qu’un en Bretagne !
2025, c’est demain ! J’espère qu’ils vont se dépêcher de nous expliquer concrètement comment ça va changer nos courses, parce que là, c’est bien flou.
Le gaspillage me culpabilise. J’espère juste que cette réorganisation rendra les produits moins parfaits, moins calibrés, plus « naturels ».
Espérons que cette « réorganisation » ne se traduise pas par une hausse des prix pour le consommateur lambda. C’est souvent le cas, au final.
Le gaspillage, c’est bien plus qu’un problème de supermarché. C’est notre rapport à la nourriture qu’il faut revoir, à la maison.
J’espère que ça impliquera moins de gaspillage d’énergie pour maintenir des montagnes de produits frais qui finissent à la poubelle.
Le problème, c’est aussi ces dates de péremption hyper strictes qui nous font jeter sans réfléchir. On pourrait assouplir ça, non ?
J’ai surtout l’impression qu’on déplace le problème. Si les supermarchés gaspillent moins, les producteurs seront peut-être obligés d’en jeter plus, non ?
Je me demande si cette réorganisation va vraiment changer quelque chose pour les petits producteurs locaux, souvent écartés au profit de gros fournisseurs.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le devenir des invendus. Ils vont devenir quoi ? Donnés ? Vendus à prix cassés ? Détruits ?
Moi, je me demande si on ne va pas vers des supermarchés qui ressembleront de plus en plus à des entrepôts, avec moins de choix direct et plus de commandes.
Moi, ce qui me frappe, c’est l’idée de « prédiction ». Ça me fait un peu peur, on va vers une uniformisation de nos besoins ? Plus de place pour l’imprévu ?
Moi, je suis surtout soulagé. Ça fait un moment qu’on en parle, enfin une action concrète ! J’espère que ça va marcher.
Personnellement, j’ai surtout hâte de voir si ça va améliorer la qualité des produits. Souvent, ils sont abîmés avant même la date limite.
Moi, ce qui me fatigue, c’est qu’on parle toujours de « solutions » sans jamais parler de la surconsommation. On veut juste maintenir le système en place, c’est tout.
Je me demande si cette « révolution » ne va pas surtout complexifier nos courses. J’ai déjà du mal à m’y retrouver avec toutes les applis et les programmes de fidélité…
Je suis curieux de voir comment ils vont gérer le côté humain. Le contact avec le vendeur, les conseils… ça risque de disparaître, non ?
Franchement, l’idée de moins de gaspillage, c’est génial. Mais j’espère qu’ils penseront aux emballages. C’est souvent ça qui me choque le plus, finalement.
J’espère que cette « réorganisation » ne va pas se traduire par une augmentation des prix. Le gaspillage, c’est déjà nous qui le payons, non ?
En tant que parent, je me demande surtout si ça réduira le temps passé à faire les courses. Chaque minute compte !
Le gaspillage, c’est un peu comme jeter son argent par les fenêtres. J’espère que cette réorganisation va réellement changer les choses et pas juste être un coup de com’.
C’est bien beau de réorganiser les supermarchés, mais le problème, il est aussi chez nous, dans nos frigos. On achète trop, on jette trop.
J’ai toujours pensé que le gaspillage était une question de mentalité. Les supermarchés sont un reflet de notre société.
Réorganiser les supermarchés, oui, mais la pression ne doit pas reposer uniquement sur leurs épaules. Nous, consommateurs, avons aussi un rôle à jouer pour limiter le gâchis.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le sort des invendus. Ils vont en faire quoi, au juste ? Espérons que ça profite à des associations plutôt que de finir incinérés.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est que cette « réorganisation » sente un peu trop la déshumanisation des courses. J’aime bien flâner dans les rayons, découvrir des produits.
Moi, ce qui me frappe, c’est le timing. 2025, c’est demain ! J’espère qu’ils ont déjà bien bossé sur le sujet, parce que changer tout un système comme ça, ça ne se fait pas en un claquement de doigts.
Moi, je me demande si cette transformation ne risque pas de standardiser encore plus l’offre. On va finir par tous acheter les mêmes choses, au même moment ?
Je suis curieux de savoir comment ils vont gérer les promotions « 3 pour le prix de 2 ». Ça pousse tellement à acheter plus que nécessaire !
Moi, je me demande si cette « révolution » ne va pas surtout augmenter les prix au final. La technologie, ça coûte cher, et c’est toujours le consommateur qui trinque.
Le gaspillage, c’est une chose, mais j’espère qu’on ne va pas finir avec des algorithmes qui décident de ce que je dois manger chaque semaine.
Le gaspillage est affligeant, c’est vrai. Mais j’espère qu’on pensera aussi aux producteurs locaux dans cette nouvelle organisation. On ne veut pas que les petits soient encore plus désavantagés.
J’espère que ça simplifiera les DLC. On jette tellement de produits encore bons juste par précaution.
Je me demande si cette « révolution » ne va pas rendre les courses encore plus impersonnelles. Le côté humain du commerce me semble important.
2025, ça me semble hyper ambitieux. J’imagine déjà les bugs informatiques et les étagères à moitié vides pendant des semaines.
Le gaspillage, c’est un truc qui me met en rogne, surtout quand je vois des familles galérer à boucler les fins de mois. Si ça peut aider à ce que la nourriture soit plus accessible, je dis banco.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la perte de spontanéité. Faire les courses, c’est parfois se laisser tenter, découvrir des produits… J’ai peur que ça disparaisse.
Je suis sceptique. On nous promet toujours des miracles technologiques, mais au final, c’est rarement aussi simple qu’annoncé. J’espère juste qu’on ne perdra pas en choix et en diversité.
Je me souviens de ma grand-mère, elle ne gaspillait rien. On pourrait peut-être s’inspirer de ces méthodes simples avant de tout miser sur la technologie.
Je suis partagé. Réduire le gaspillage, c’est crucial, mais j’espère qu’on ne va pas standardiser l’offre à outrance. J’aime bien trouver des produits originaux, parfois imparfaits, qui font le charme de mes repas.
Je suis curieux de voir comment ils vont gérer les invendus des invendus. Les promos à -70% avant la date, c’est déjà une forme de solution, non ?
Ce qui m’interroge, c’est le prix. Qui va payer pour cette « révolution » logistique ? Le consommateur, encore ?
Je me demande si cette réorganisation ne va pas créer encore plus d’emballages pour optimiser les quantités livrées. Le remède serait pire que le mal.
J’espère que ça ne va pas supprimer les petits producteurs locaux. Ils sont souvent les premiers à subir ces changements.
En tant que client régulier, j’espère surtout que cette réorganisation ne se traduira pas par moins de personnel en rayon pour nous conseiller.
En tant que bénévole dans une association d’aide alimentaire, je vois l’énorme quantité de nourriture encore consommable jetée. Si cette réorganisation peut vraiment améliorer la redistribution, ce serait formidable.
J’espère que ça va aussi aider à mieux gérer les dates de péremption, parce que souvent c’est la confusion et la peur qui font jeter.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est l’impact sur l’ambiance du supermarché. J’ai peur que ça devienne des entrepôts froids et impersonnels.
Moi, je me demande si ça va vraiment changer nos habitudes de consommation. C’est facile de blâmer les supermarchés, mais nous, les clients, on a aussi notre part de responsabilité dans le gaspillage.
Moi, je me demande si cette « réorganisation » ne va pas simplement déplacer le problème. On va moins jeter en rayon, mais plus chez les fournisseurs ?
Moi, je me demande si on ne fantasme pas un peu trop la « prédiction » ? La météo se trompe déjà souvent…
Moi, je crains surtout que ça uniformise l’offre. Adieu les produits un peu « moches » mais savoureux, bonjour le calibre parfait standardisé.
Franchement, j’ai surtout peur pour l’emploi. Qui va trinquer si les supermarchés optimisent à ce point ?
Réorganisation, oui, mais il faudrait surtout s’attaquer aux marges excessives qui poussent à jeter plutôt qu’à baisser les prix en fin de vie des produits.
C’est bien beau de parler de technologie, mais est-ce qu’on pense au goût ? J’ai l’impression qu’on sacrifie souvent la qualité pour l’optimisation.
J’espère que cette « réorganisation » ne va pas créer encore plus d’emballages inutiles pour suivre chaque produit individuellement. On se focalise sur le gaspillage alimentaire, mais quid du gaspill…
Je me demande si cette « réorganisation » ne va pas surtout profiter aux grands groupes, qui auront les moyens d’investir dans les nouvelles technologies, au détriment des petits producteurs locaux.
En tant que consommateur, j’ai hâte de voir si ça va réellement se traduire par des prix plus justes pour nous.
J’aimerais bien qu’on valorise plus les dates de durabilité minimale (DDM) plutôt que les dates limites de consommation (DLC).
J’ai toujours trouvé aberrant qu’on jette des produits encore bons. Ma grand-mère récupérait tout, même le pain rassis ! J’espère qu’on va retrouver un peu de ce bon sens.
Moi, le gaspillage, ça me culpabilise. Surtout quand je vois le prix de la nourriture. J’espère que ça calmera un peu mon sentiment de gâchis.
Je me demande si on ne devrait pas d’abord éduquer les consommateurs au lieu de tout miser sur la technologie. On achète souvent trop, par habitude.
En tant que parent, je me demande si cette réorganisation va faciliter l’accès à des produits frais et abordables pour les familles. C’est ça, le vrai défi pour moi.
J’aimerais bien savoir comment ils vont gérer les invendus. Les associations caritatives vont-elles vraiment en profiter ou est-ce que ça finira encore à la benne, discrètement ?
Si ça peut réduire le stress de faire les courses, je suis pour. Moins de choix, mais plus de certitude de trouver ce dont j’ai besoin sans gâcher, ça me va.
J’ai peur que ça uniformise encore plus notre alimentation. Adieu les petits plaisirs et les découvertes gustatives ?
Franchement, ça me fait penser aux prédictions météo : on nous annonce la pluie, et il fait soleil. J’attends de voir les résultats concrets, car entre la théorie et l’assiette…
Si les supermarchés ressemblent à des entrepôts optimisés, je crains qu’on perde le plaisir de flâner et de découvrir de nouveaux produits.
Le choix est déjà limité, alors si on rationalise encore, on mangera tous la même chose.
C’est bien beau d’optimiser, mais j’espère qu’on ne va pas créer de nouveaux problèmes en voulant en résoudre d’autres. Le remède sera-t-il pire que le mal ?
J’espère juste que cette « réorganisation radicale » ne se fera pas au détriment des producteurs locaux. On parle beaucoup de gaspillage, mais peu de la fragilité de ceux qui nous nourrissent.
Je suis sceptique. On nous promet toujours monts et merveilles avec la « technologie », mais au final, c’est souvent le consommateur qui trinque en matière de prix.
Le gaspillage, c’est aussi notre faute à nous, les clients. On veut des fruits et légumes parfaits, sans un défaut. Forcément, ça crée du gâchis en amont.
Je me demande si on ne va pas finir par blâmer les supermarchés pour un problème qui est bien plus profond : notre rapport à la consommation. On achète trop, on jette trop.
Personnellement, je me demande si cette « réorganisation » ne va pas surtout créer des emplois encore plus précaires dans la logistique. On parle d’optimisation, mais rarement du coût humain.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est la pression sur les employés. Si la techno prédit tout, ils deviendront juste des robots exécutants, non ?
Moi, ce qui m’interroge, c’est le coût de cette technologie. Qui va payer au final ? Le consommateur, bien sûr.
Je me demande si toute cette concentration sur la logistique ne risque pas de nous faire oublier le bon sens : moins de promotions du genre « 2 pour le prix d’1 » et plus de petits conditionnements, ça…
Moi, ce qui m’ennuie, c’est l’idée de la « prédiction ». On va finir par nous orienter vers ce qu’on « devrait » acheter, et plus vers ce qu’on a vraiment envie.
Moi, j’ai l’impression que le supermarché va devenir une sorte d’entrepôt froid et impersonnel. Adieu le plaisir de flâner dans les rayons ?
Moi, je me demande si ça va vraiment changer nos habitudes. On râle contre le gaspillage, mais on remplit toujours nos caddies à ras bord…
J’espère juste que cette réorganisation profitera aussi aux petits producteurs locaux, souvent exclus des circuits classiques.
Finalement, on va peut-être retrouver des produits plus frais, moins longtemps en rayon. C’est un point positif, non ?
Le gaspillage, c’est une chose, mais j’espère qu’on ne va pas perdre la diversité des produits en rayon au nom de l’efficacité.
Le gaspillage, c’est criminel, mais j’espère qu’on pensera aussi à ceux qui n’ont pas les moyens de toujours acheter la « juste » portion. Les promos, ça aide parfois à boucler les fins de mois.
J’ai surtout peur qu’on nous infantilise encore plus avec ces systèmes « intelligents ». On n’est pas capables de faire nos courses raisonnablement, c’est ça ?
Je suis curieux de voir comment ils vont s’attaquer aux pertes dues aux DLC courtes. C’est souvent ça qui finit à la benne, non ?
Je suis partagé. Moins de gaspillage, c’est vital, mais j’ai peur que cette course à l’optimisation se fasse au détriment du lien social. Le supermarché, c’est aussi un lieu de rencontre, non?
Si ça peut éviter de jeter des palettes entières de yaourts à date, je dis banco ! Marre de voir cette abondance gâchée.
Je me demande si cette « réorganisation radicale » ne va pas surtout nous pousser à commander encore plus en ligne. Au final, le gaspillage sera juste déplacé chez les livreurs et plateformes.
En tant que caissière, je peux vous dire que la moitié des produits scannés finissent oubliés au fond du sac, puis poubelle. On pourrait peut-être commencer par là, non ?
Ils parlent de technologie, de prédiction… Mais la météo, les grèves, ça, ils prédisent comment ? C’est souvent ça qui fout le bazar dans les rayons.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le prix de cette technologie. Qui va payer la facture au final ? Le consommateur, comme d’habitude ?
Franchement, j’espère juste qu’ils ne vont pas nous imposer des portions pré-définies. J’aime bien choisir la taille de ma courgette moi !
J’ai l’impression qu’on blâme toujours le supermarché, mais nous, les consommateurs, on n’est pas un peu responsables aussi ?
Est-ce qu’ils vont enfin oser donner les invendus aux associations au lieu de les jeter ? C’est ça, la vraie question.
J’espère que cette réorganisation ne va pas standardiser à outrance l’offre. La diversité des produits, c’est quand même un plaisir.
Moi, ce qui me frappe, c’est qu’on parle de « radical ». J’espère que ce n’est pas juste un mot à la mode pour cacher des coupes budgétaires et moins de personnel.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est qu’on nous parle de 2025. C’est demain ! On aurait dû commencer il y a des années. J’ai l’impression qu’on réagit toujours trop tard.
Moi, ce qui me dérange, c’est ce terme « gaspillage ». On parle de nourriture. C’est plus qu’un simple déchet, c’est du respect qu’on perd.
Moi, je me demande si toute cette « réorganisation » ne va pas surtout rendre les courses encore plus impersonnelles. On perd déjà tellement le contact…
Le « radical » me fait peur, comme si on allait perdre le plaisir de flâner dans les rayons. J’espère que ça ne deviendra pas une corvée utilitaire.
On dirait qu’on veut transformer le supermarché en usine. J’espère qu’on gardera au moins un peu de place pour les petits producteurs locaux.
On parle de technologie et de prédiction, mais est-ce qu’on va enfin prendre en compte les spécificités locales ? Chaque région a ses habitudes alimentaires, il ne faudrait pas l’oublier.
Moi, ce qui me rassure un peu, c’est qu’on semble enfin prendre le problème à bras le corps. Peut-être que mes enfants verront moins de nourriture gâchée que moi.
On nous parle toujours de l’impact sur les supermarchés, mais qu’en est-il des agriculteurs ? Ces changements vont-ils les aider ou les contraindre davantage ? C’est ça qui m’inquiète.
Si ça peut baisser les prix, je dis banco. Marre de payer si cher des produits qui finissent à la poubelle.
Tant que je peux encore trouver mon camembert préféré, ça me va.
J’ai l’impression qu’on va surtout nous pousser à consommer ce qu’ils ont envie de vendre, pas ce qu’on a vraiment besoin.
Si les supermarchés réduisent le gaspillage, ils vont forcément moins commander. J’espère que ça ne se traduira pas par des licenciements.
J’espère juste qu’ils ne vont pas nous refourguer des invendus déguisés en « promotions spéciales ».
En même temps, c’est pas comme si on avait le choix. Le gaspillage, c’est plus possible, point barre. Faut bien que ça change, même si ça bouscule nos habitudes.
Moi, ce qui me chiffonne, c’est le mot « prédiction ». On va se retrouver avec un algorithme qui décide de ce que je dois manger ? Bof.
J’ai surtout peur que la diversité des produits diminue. Moins de choix pour moins de gaspillage, c’est ça ?
Le gaspillage, c’est un truc qui me met en rogne. J’ai connu les restrictions, et voir des montagnes de bouffe jetée, ça me dépasse. J’espère que ça va vraiment changer quelque chose.
Je me demande si cette « réorganisation radicale » ne va pas simplement masquer le problème en amont, chez les producteurs. On ne s’attaque qu’à la partie visible de l’iceberg.
J’ai toujours l’impression que ces grandes annonces oublient l’éducation du consommateur. On nous culpabilise, mais qui nous apprend à mieux acheter et à mieux cuisiner les restes ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le côté « technologie ». J’ai l’impression que plus on informatise, plus on se déconnecte du réel et du bon sens.
Je me demande si on ne surestime pas le rôle des supermarchés. Le plus gros gaspillage, je crois, c’est chez nous, à la maison. Commençons par balayer devant notre porte.
Je suis curieux de voir comment ils vont concrètement s’y prendre. Pour l’instant, ça reste très théorique et vague.
Finalement, c’est peut-être une opportunité pour redécouvrir des produits locaux et de saison, non ? On se focalise trop sur la disponibilité de tout, tout le temps.
2025, c’est demain. J’espère qu’ils penseront à ceux qui ont du mal à finir le mois, et pas seulement à l’optimisation des profits.
J’espère juste que cette « réorganisation » ne se traduira pas par une augmentation des prix pour le consommateur. Qui va payer la note de cette transformation ?
Je me demande si cette réorganisation va vraiment profiter aux petites exploitations ou si elle va surtout avantager les gros fournisseurs déjà en place.
Si seulement ils pouvaient donner une seconde vie à tous ces produits au lieu de simplement optimiser les stocks. Des partenariats avec des associations, ça serait du concret.