Multiplier ses hortensias, ces arbustes aux floraisons spectaculaires, vire souvent au casse-tête pour de nombreux jardiniers. Les tiges noircissent, les feuilles tombent, et l’échec s’installe, laissant un sentiment de frustration. Pourtant, la solution ne réside pas dans des techniques complexes, mais dans trois gestes fondamentaux souvent négligés. Une méthode simple, validée par l’expérience, permet de garantir la reprise et d’obtenir de nouveaux plants vigoureux à coup sûr.
Jean-Luc Fournier, 62 ans, jardinier paysagiste à la retraite près de Vannes, a lui-même connu ces déceptions. « Pendant des années, je voyais mes boutures pourrir. J’ai fini par comprendre que le secret ne résidait pas dans des produits complexes, mais dans trois gestes précis que l’on oublie trop souvent », confie-t-il. Il a transformé ses échecs en une méthode infaillible, assurant un taux de réussite de plus de 90 %.
Les trois secrets d’une bouture d’hortensia réussie
La réussite du bouturage d’hortensia repose sur une logique simple : minimiser le stress de la plante pour maximiser ses chances de créer de nouvelles racines. La technique se concentre sur trois points critiques que Jean-Luc a perfectionnés au fil des saisons. D’abord, une coupe nette et précise juste sous un nœud, là où le potentiel de croissance est le plus fort. Ensuite, la réduction de moitié des feuilles supérieures pour limiter l’évaporation, un geste vital qui évite l’épuisement de la tige. Enfin, la création d’un environnement humide mais pas détrempé, grâce à la technique dite « à l’étouffée », qui prévient la pourriture tout en stimulant l’enracinement.
- La coupe : Toujours utiliser un sécateur désinfecté pour une coupe franche sous un jeu de feuilles.
- Les feuilles : Ne conserver que deux feuilles en haut de la tige et les couper de moitié.
- L’humidité : Couvrir la bouture avec une cloche ou un sac plastique pour maintenir une hygrométrie élevée.
Le matériel indispensable pour un départ parfait
Avant de vous lancer, rassemblez le bon équipement. La simplicité est de mise, mais la qualité des outils fait une réelle différence. Un matériel propre et adapté est le premier gage de succès pour éviter la propagation de maladies et offrir les meilleures conditions à vos futures plantes.
- Un sécateur propre et bien affûté pour des coupes nettes.
- Des petits pots ou godets avec des trous de drainage.
- Un substrat léger et drainant : un mélange de 50 % terreau et 50 % sable est idéal.
- Une mini-serre, une cloche en verre ou un simple sac plastique transparent.
Guide pas à pas : de la tige à la nouvelle plante
La meilleure période pour réaliser vos boutures se situe entre fin juin et mi-août, lorsque les tiges de l’année sont semi-aoûtées, c’est-à-dire ni trop tendres, ni trop dures. Ce processus, à la fois rapide et économique, vous permettra de dupliquer vos variétés préférées sans dépenser un centime en pépinière.
- Préparez le pot : Remplissez votre godet du mélange terreau et sable, puis humidifiez-le légèrement.
- Prélevez la bouture : Choisissez une tige saine de l’année, sans fleur, et coupez une section de 12-15 cm juste sous un nœud.
- Préparez la tige : Retirez les feuilles du bas et coupez les feuilles restantes en deux.
- Plantez : Enfoncez la tige dans le substrat sur environ 5 cm et tassez doucement la terre autour.
- Créez l’effet de serre : Arrosez délicatement et couvrez le pot avec votre cloche ou sac plastique. Placez le tout à l’ombre lumineuse, sans soleil direct.
| Élément | Condition optimale |
|---|---|
| Difficulté | Facile |
| Température | 18 à 22 °C |
| Lumière | Lumineux mais sans soleil direct |
| Durée avant enracinement | 4 à 6 semaines |
| Repiquage en pleine terre | Au printemps suivant |
L’alternative de la bouture dans l’eau : bonne ou mauvaise idée ?
Il est également possible de faire raciner une tige d’hortensia dans un verre d’eau. Cette méthode est très visuelle et ludique, mais les racines formées sont souvent plus fragiles et peuvent peiner à s’adapter lors du passage en terre. C’est une expérience intéressante, mais la méthode en terre reste plus fiable pour obtenir des plants robustes.
- Avantages : Simple, visuel, permet de suivre l’apparition des racines.
- Inconvénients : Racines plus fragiles, transition vers la terre parfois difficile, taux de réussite potentiellement plus faible.
Aller plus loin que la simple multiplication
Maîtriser cette technique de bouturage ouvre des perspectives bien plus larges. Ce savoir-faire ne se limite pas aux hortensias ; il peut être appliqué à de nombreux autres arbustes de votre jardin, comme les forsythias, les weigelias ou les buddleias. C’est une compétence fondamentale qui vous rend plus autonome et créatif dans l’aménagement de vos espaces verts. En apprenant à multiplier vos propres plantes, vous développez une connexion plus profonde avec le cycle de la nature.
Cette pratique favorise également le partage et l’échange entre jardiniers, permettant de préserver des variétés locales ou anciennes qui ne sont plus disponibles dans le commerce. C’est un geste à la fois économique, écologique et social. En suivant ces quelques étapes cruciales, vous transformerez une simple tige en un nouvel arbuste plein de promesses. N’hésitez plus à expérimenter, car votre jardin vous le rendra au centuple.
J’ai toujours trouvé que les hortensias avaient un côté capricieux. J’espère que ces « gestes secrets » sont vraiment efficaces, parce que j’ai déjà tout essayé sans succès! On verra bien.
« Gestes secrets », ça me fait toujours sourire. J’imagine plus ça comme du bon sens oublié que de la magie. Hâte de voir si c’est vraiment révolutionnaire ou juste une piqûre de rappel.
Je suis curieux ! J’espère que l’article détaille bien les raisons *pourquoi* ces gestes sont importants, et pas juste un « faites ceci ». Comprendre le processus, c’est la clé.
« Gestes secrets » ou pas, je suis surtout content si ça évite de gâcher des bouts de plante ! J’en ai tellement jeté… Si ça marche, ça vaut de l’or.
J’aime bien l’idée de « gestes secrets », ça donne un côté conte de fées au jardinage. Après, pour moi, le plus dur c’est toujours de maintenir l’humidité constante au début.
Hortensias, la bête noire de mon jardin ! J’espère que ces « gestes » ne demandent pas un doctorat en botanique. Si c’est simple, je suis preneur.
J’espère que ces gestes concernent le choix du bon terreau. J’ai toujours pensé que c’était ça le cœur du problème, plus que l’humidité ou la lumière.
Moi, ce qui me stresse, c’est la survie des boutures après la reprise. Elles démarrent bien, puis périclitent. J’espère que ces gestes s’occupent de ça, la durée.
Trois gestes, c’est bien, mais j’espère que ça ne demande pas d’acheter du matériel spécifique. J’ai déjà un placard entier rempli de trucs « indispensables » pour le jardin!
« Trois gestes secrets »… Mouais. Pour moi, le secret, c’est surtout la patience. J’ai l’impression que les hortensias, faut juste les laisser faire leur vie, sans trop s’en mêler.
Les hortensias, c’est comme les chats : chacun a sa propre personnalité. Ce qui marche pour le voisin ne marche pas forcément pour moi. J’attends surtout des astuces adaptables.
Bouturer les hortensias, c’est une loterie chez moi. L’article promet la fin des échecs ? J’attends de voir. J’espère surtout que ça ne demande pas un temps fou.
J’ai toujours pensé que le timing était crucial. Le moment où on prélève la bouture, l’heure de la journée… Ça joue, ça, non ?
Des « gestes secrets » ? Ça me fait sourire, mais bon, si ça peut aider. Moi, je crois surtout à l’observation attentive de la plante mère.
« Trois gestes secrets », ça sent un peu le marketing, non ? J’aimerais surtout comprendre *pourquoi* ces gestes fonctionnent, pas juste les appliquer bêtement.
« Gestes secrets », ça fait un peu gourou du jardinage… Moi, j’ai surtout peur de flinguer mes hortensias en faisant n’importe quoi. J’aimerais surtout ne pas les stresser davantage, en fait.
Les hortensias me rappellent ma grand-mère. Si ces « gestes secrets » peuvent m’aider à avoir un peu de son jardin chez moi, tant mieux. J’espère que ça ne demande pas un doctorat en botanique!
J’ai toujours l’impression de déranger mes hortensias quand je les bouture. Peut-être que ces gestes secrets sont plus une question de respect de leur rythme naturel ?
Mouais, « secret » c’est un grand mot. Moi, je me demande surtout si ces gestes tiennent compte du type d’hortensia. Tous ne se bouturent pas pareil, non ?
Hortensias et moi, c’est une longue histoire d’amour… ratée. Je suis curieux, mais surtout méfiant. J’ai déjà essayé tellement de « méthodes miracles ».
J’espère que ces « gestes » sont compatibles avec mon balcon exposé plein sud. J’ai peur que le soleil ne grille tout avant même que ça prenne racine.
Le « secret », c’est peut-être juste un peu d’attention ? J’ai remarqué que quand je prends le temps, ça marche mieux… pour tout, en fait.
Secrets ou pas, l’important c’est de ne pas se décourager. J’ai mis du temps, mais maintenant, j’en ai plein !
J’ai toujours pensé que les hortensias, c’était une question de terroir. Est-ce que ces « gestes » peuvent vraiment compenser une terre trop calcaire ?
Les hortensias, c’est joli, mais ça boit ! J’espère que ces gestes « secrets » incluent une astuce pour ne pas devoir les arroser tous les jours en été.
Des « gestes secrets » ? Ça sent le vieux truc de grand-mère revisité. J’espère juste que c’est pas trop compliqué, parce que j’ai deux mains gauches.
Moi, les hortensias, c’est surtout une question de patience. J’ai l’impression qu’ils font ce qu’ils veulent, quand ils veulent. Ces « gestes secrets » me font sourire, mais je suis prêt à essayer.
Je suis toujours étonné de voir à quel point on mystifie le jardinage. C’est souvent du bon sens, pas de la magie. J’espère que les « gestes secrets » ne sont pas juste une façon de vendre du rêve.
Si c’est vraiment si simple, pourquoi personne n’en a parlé avant ? J’attends de voir ce que cachent ces « gestes ».
Bouturer des hortensias, c’est comme tenter de photographier un arc-en-ciel : on a beau essayer, le résultat est rarement à la hauteur de l’attente. J’espère que ces gestes ne promettent pas la lune.
Moi, les hortensias, c’est un peu ma madeleine de Proust. Ça me rappelle les jardins de mon enfance. Si ces gestes peuvent m’aider à retrouver cette ambiance, je suis preneur, peu importe le « secret ».
Bouturer, c’est un peu comme donner une seconde chance. J’espère que ces gestes aident vraiment, parce que j’ai l’impression de les noyer à chaque fois.
Les hortensias et moi, c’est une longue histoire d’amour… et de désespoir. J’espère juste que ces gestes ne vont pas me ruiner en terreau spécial.
Hortensias, la beauté capricieuse du jardin ! J’espère que ces « gestes » sont plus concrets que la lune en paroles. On verra bien si ça marche chez moi…
« Trois gestes secrets »… ça me fait penser aux recettes de grand-mère, mais pour les plantes. J’espère juste que ce n’est pas un truc trop contraignant.
Franchement, « gestes secrets », ça fait un peu gourou du jardinage. J’ai plus confiance dans les conseils de mon voisin, lui, au moins, il montre ses ratés.
Hortensias… j’ai arrêté de me battre. Trop d’efforts pour un résultat aléatoire. Je préfère admirer ceux du voisin, ça me coûte moins cher en engrais.
J’ai toujours pensé que la clé, c’était surtout l’exposition. Trop de soleil, et adieu les belles fleurs. J’espère que ces gestes tiennent compte de ça.
Moi, ce qui me stresse, c’est le timing. Faut-il vraiment couper à un moment précis de la journée ? J’ai jamais réussi à m’y tenir.
« Gestes secrets », ça sent la simplification à outrance, non ? J’ai peur que ça zappe les spécificités de chaque variété d’hortensia.
J’ai surtout envie qu’on m’explique POURQUOI ces gestes sont si importants. Le « secret » sans explication, c’est frustrant.
L’hortensia, c’est l’élégance démodée. Si ces gestes me font gagner du temps sur l’arrosage, je suis preneur.
J’ai plus de succès avec les boutures d’hortensia en automne qu’au printemps. Ça vaut le coup d’essayer si on galère.
Si ces gestes permettent enfin d’avoir des hortensias qui ne finissent pas tous marrons, je suis preneur. J’ai l’impression de toujours faire quelque chose de travers avec ces plantes.
J’espère que ces gestes ne nécessitent pas de matériel spécifique. J’ai déjà une collection d’outils de jardinage qui prend la poussière.
J’espère que ces « gestes secrets » sont compatibles avec mon sol argileux. Sinon, c’est mort d’avance.
Je suis curieux de savoir si ça marche aussi pour les hortensias en pot sur mon balcon.
Moi, les hortensias, ça me rappelle ma grand-mère. J’espère juste que ces gestes ne demandent pas un doctorat en botanique. Si c’est trop compliqué, tant pis, je les laisserai à leur sort.
Bouturer, c’est presque un acte de foi. J’espère que l’article va au-delà du simple « couper, planter, prier ».
« Gestes secrets »… ça me fait penser aux pubs pour maigrir. J’espère que l’article ne va pas se contenter de promesses sans donner de vrais conseils pratiques.
J’ai toujours pensé que le secret des hortensias résidait plus dans la patience que dans des « gestes secrets ». On verra bien.
J’ai l’impression qu’on nous vend du rêve. J’attends de voir les fameux gestes. J’ai déjà assez de « secrets » qui ne fonctionnent pas dans mon jardin.
J’ai toujours pensé que l’emplacement était plus important que la technique. Un coin mi-ombre bien abrité, ça change tout, non ?
J’ai toujours pensé que le vrai secret, c’était de les oublier un peu. Trop d’attention, et hop, ils font la tête. Peut-être que ces gestes secrets sont une forme d’attention discrète ?
« Gestes secrets », ça sent l’astuce de grand-mère, pas la solution miracle. J’espère que c’est plus terre à terre que ça.
Je me demande si ces « gestes » tiennent compte du type d’hortensia. J’ai un paniculata qui pousse comme du chiendent, et un macrophylla qui fait la tête quoi que je fasse.
Mon balcon, c’est un peu le cimetière des hortensias. Ils ont l’air si beaux en jardinerie… J’espère que ces gestes tiennent compte de la culture en pot, parce que la terre du jardin, c’est pas pour moi.
J’ai une terre argileuse, l’enfer pour les hortensias ! Ces « gestes » vont-ils enfin m’aider à contourner ce problème ?
Moi, ce qui me décourage, c’est le rempotage. J’ai l’impression de toujours les traumatiser à ce moment-là. C’est peut-être ça, mon geste secret raté ?
Moi, les hortensias, c’est une histoire d’amour et de haine. Ils sont magnifiques, mais tellement capricieux ! J’espère que ces gestes me réconcilieront avec eux.
Ces « gestes secrets », ça me fait penser aux recettes de famille qu’on se transmet. J’espère qu’ils sont applicables à tous les climats, parce qu’en Bretagne, on a quand même une sacrée humidité à gérer.
Moi, je me demande surtout si ces « gestes » sont vraiment adaptés aux débutants. J’ai peur que ça reste du jargon de jardinier confirmé.
J’espère que ces « gestes » ne sont pas une excuse pour vendre un énième produit miracle. J’ai déjà assez de flacons à moitié vides dans mon garage.
J’ai plus de succès avec les semis spontanés qu’avec les boutures. C’est peut-être une question de patience.
J’attends de voir ce que sont ces gestes. J’espère surtout qu’ils sont compatibles avec un arrosage à l’eau de pluie, la seule que je veux utiliser.
Les hortensias et moi, c’est une longue histoire… d’échecs. J’attends ces « gestes » avec un mélange d’espoir et de scepticisme. On verra bien si ça change la donne.
Bouturer, c’est un peu comme cuisiner : parfois, ça prend, parfois non, sans qu’on sache pourquoi. L’important, c’est d’essayer et d’apprendre de ses erreurs, plus que de chercher la « recette miracle ».
L’accroche est bonne, mais j’ai l’impression qu’on nous promet la lune. J’attends de voir si les « gestes » sont à la hauteur de l’annonce.
J’espère surtout qu’on parle bien de boutures de tiges et pas de division de touffes, parce que là, c’est le jour et la nuit en termes de difficulté.
« Gestes secrets », ça sent le truc un peu mystique… J’espère qu’ils vont pas me parler de parler aux plantes.
L’hortensia, c’est joli, mais est-ce que ça vaut vraiment tout ce tracas ?
Si ça marche, je pourrai enfin en offrir à ma voisine qui les adore.
Hortensias, boutures, secrets… Tout ça me rappelle ma grand-mère. Elle avait toujours des hortensias magnifiques sans jamais rien expliquer. J’espère que cet article perce enfin son mystère !
Ah, les hortensias… J’ai fini par en acheter un en plastique. Au moins, il ne fane pas !
Moi, j’ai surtout peur du mildiou sur les hortensias. Si ces gestes pouvaient aussi aider à ça, ce serait top.
Moi, ce qui me décourage, c’est surtout le temps que ça prend. Entre faire la bouture et avoir une plante digne de ce nom, on parle de combien de temps ?
Moi, j’aimerais surtout savoir si ces gestes fonctionnent aussi pour les hortensias grimpants. C’est ceux-là qui me posent le plus de problèmes.
Je suis curieux de voir si ces « gestes secrets » sont vraiment adaptés à mon sol argileux. J’ai toujours du mal à avoir des résultats probants, peu importe la plante.
Moi, j’ai toujours pensé que le secret, c’était l’eau de pluie… et beaucoup de patience. On verra bien leurs « gestes secrets ».
Les hortensias, c’est la madeleine de Proust de ma mère. J’espère que cet article donnera un coup de pouce à ceux qui galèrent, mais bon, un peu de patience et d’observation, ça fait déjà beauc…
J’espère que ces « gestes secrets » ne vont pas demander un équipement de pro. J’ai surtout des vieux outils et un balcon, pas une pépinière !
J’ai surtout envie de savoir si ces gestes marchent pour les boutures faites en automne. C’est là que j’ai le plus de temps à y consacrer.
Si ça peut éviter de tuer des hortensias, je suis preneur ! J’ai toujours trouvé ça triste de voir ces pauvres boutures dépérir.
Des « gestes secrets »… ça sent un peu le marketing, non ? J’espère que l’article sera plus concret que le titre.
J’ai hâte de voir si ces gestes sont compatibles avec mon chat, Grosminet. Il adore grignoter les feuilles, et je ne voudrais pas l’intoxiquer en voulant faire des boutures.
« Gestes secrets » ou pas, j’espère surtout que ça va me donner envie de m’y remettre. J’ai un hortensia magnifique, mais l’idée de le multiplier me paraissait insurmontable.
Bouturer les hortensias, c’est un peu comme refaire une recette de grand-mère : ça a l’air facile, mais le résultat est rarement à la hauteur de mes espérances.
Bouturer, ça me rappelle mon enfance chez ma grand-mère. Elle avait toujours les doigts dans la terre, et les hortensias étaient sa fierté. J’espère retrouver un peu de cette magie.
Les hortensias… j’en ai planté un une fois, et il a fleuri bleu. C’était beau. Je me demande si ces gestes pourraient m’aider à en refaire fleurir un de cette couleur.
J’ai toujours trouvé la bouture un peu cruelle. On coupe une partie de la plante, comme si on lui volait un morceau d’elle-même. J’espère que ces « gestes » sont bienveillants.
Moi, j’ai surtout peur de me lancer. J’ai déjà tellement de pots sur mon balcon, je ne voudrais pas que ça devienne la jungle !
J’attends de voir ces fameux gestes. J’ai l’impression que la patience est la clé, plus que le secret.
J’espère que ces gestes ne demandent pas un équipement de pro. Mon budget jardinage est déjà bien entamé cette année !
Hortensias… ça me rappelle les bouquets un peu fanés qu’on trouvait sur les tombes, vous voyez ? J’espère que ces gestes donneront plutôt vie que l’inverse.
« Gestes secrets », ça sent un peu le marketing, non ? J’espère que l’article ne va pas survendre une méthode banale. On verra bien.
Moi, les hortensias, c’est surtout l’acidité du sol qui me stresse. Si ces gestes règlent ça, je suis preneur !
« Gestes secrets »… Mouais. J’espère que ça parle de l’environnement, de l’exposition, pas juste de manipulations. Pour moi, c’est ça qui compte vraiment.
« Gestes secrets »… ça me fait penser aux recettes de grand-mère. J’espère qu’il y a de la simplicité et du bon sens là-dedans, pas juste des tours de main compliqués.
J’espère surtout que ces « gestes » sont adaptés à la région. Ce qui marche dans le Sud ne fonctionne pas forcément en Bretagne !
Hortensias et boutures… un souvenir de mon grand-père. Il avait toujours les mains pleines de terre et un sourire quand ça prenait. J’espère retrouver un peu de cette magie.
Hortensias, boutures, toujours une histoire de timing pour moi. Réussir à sentir le bon moment, c’est déjà la moitié du chemin. J’espère que ces gestes vont m’aider à mieux écouter la plante.
J’ai toujours pensé que la clé, c’était la qualité de l’eau. J’espère que ces gestes vont au-delà de ça et proposent une vision plus globale.
Je suis curieux, mais « gestes secrets », ça sonne un peu trop mystérieux pour une plante aussi commune. J’espère que ce n’est pas juste du vent.
Bouturer les hortensias, c’est comme retenter un plat raté : toujours l’espoir de faire mieux. Si ces gestes me donnent le courage de m’y remettre, c’est déjà ça.
Les hortensias, c’est un peu la madeleine de Proust de mon jardin. Si ces « gestes secrets » me permettent de moins les culpabiliser quand je les rate, je suis déjà content.
Si seulement ces gestes pouvaient m’éviter de me sentir coupable à chaque fois que j’en rate une… J’ai l’impression de les noyer dans de bonnes intentions.
« Gestes secrets », ça me fait sourire. J’ai l’impression que chaque jardinier a les siens, et qu’ils changent avec le temps et les saisons. On verra bien si ça matche avec les miens.
Mouais, les hortensias… Je les trouve tellement capricieux ! J’ai plus de succès avec les ronces, c’est dire. J’attends de voir ces « gestes », mais je reste sceptique.
Moi, c’est plus la patience qui me manque. J’ai l’impression de toujours vouloir que ça aille trop vite avec les boutures.
J’ai surtout peur de me lancer. La technique, ça s’apprend, mais le courage de couper une belle branche… c’est autre chose.
Hortensias, c’est la couleur de mon enfance. J’espère surtout que ces gestes ne vont pas me faire retomber dans des complications inutiles. Simplicité, voilà ce que je cherche.
J’espère que ces gestes tiennent compte du type d’hortensia. J’ai des paniculata et des macrophylla, et j’imagine que ça change tout.
« Gestes secrets »… Ça sent le coup marketing ! J’espère surtout que l’article va au-delà du simple arrosage et de l’exposition au soleil.
Les hortensias, c’est joli, mais ça prend de la place. Si ces gestes me permettent d’en avoir d’autres sans dépenser, pourquoi pas. Je suis curieux de voir si ça vaut le coup de s’embêter.
J’ai déjà essayé de faire des boutures, mais le résultat était toujours le même : un truc tout flétri et marron. J’espère que ces gestes vont m’aider à comprendre pourquoi je me rate à chaque fois.
Je me demande si ces « gestes secrets » sont compatibles avec mon sol argileux. C’est toujours la même histoire, il faut tout adapter!
J’espère surtout que ça parle de l’humidité ambiante. Chez moi, c’est l’air sec qui flingue tout, pas forcément la terre.
Bouturer, c’est un acte de foi. Plus que des gestes, j’aimerais qu’on parle du bon moment, celui où la plante donne son accord tacite.
L’hortensia, c’est un peu la madeleine de Proust de nos jardins. Si ces « gestes secrets » peuvent me faire revivre ces émotions, je suis preneur, même si ça demande un peu d’attention.
Ces « gestes secrets », ça me fait penser aux recettes de grand-mère. On verra bien si ça marche, mais le simple fait d’essayer, ça me reconnecte à la nature.
Des « gestes secrets », mouais… On dirait qu’on complexifie à outrance un truc qui devrait être instinctif. La nature, c’est pas un coffre-fort à ouvrir avec une combinaison.
Moi, l’hortensia, c’est le souvenir de la maison de ma grand-mère. J’espère que ces conseils simples me ramèneront un peu de ce bonheur-là. On verra bien!
« Gestes secrets », c’est peut-être un peu pompeux, mais si ça peut éviter le désespoir de voir mes boutures mourir, je suis prêt à tout essayer. L’hortensia, c’est tellement capricieux !
J’ai plus de succès avec le marcottage, personnellement. C’est moins rapide, mais au moins, je ne stresse pas avec des boutures fragiles.
Bouturer l’hortensia, c’est comme tenter de gagner au loto.
Je suis curieux de savoir si ça marche avec les hortensias grimpants. J’en ai un qui prend trop de place, ça serait l’occasion de le maîtriser !
Des hortensias en pleine forme, c’est joli, mais j’avoue que ce n’est pas ma priorité au jardin. J’ai d’autres fleurs qui me donnent moins de fil à retordre.
Je préfère acheter mes hortensias déjà grands, ça évite les déceptions. Le jardinage, c’est du plaisir, pas du stress.
Les hortensias, c’est beau, mais ça demande de l’eau. Avec les étés qu’on a, je me demande si c’est bien raisonnable de s’acharner…
Hortensia, jardinage… C’est beau sur les photos. Mais entre le calcaire de mon eau et la terre argileuse, je crois que je vais laisser tomber. Trop de contraintes pour si peu de fleurs.
« Gestes secrets »… Je parie qu’il s’agit juste de couper au bon endroit et d’arroser correctement. On verra bien si ça révolutionne mon jardin!
J’ai toujours pensé que le mystère des hortensias résidait dans l’acidité du sol, plus que dans des gestes savants. On verra bien ce que ces secrets révèlent.
« Trois gestes secrets »… Ça sent un peu le marketing, non? J’espère surtout que ce ne sont pas des produits à acheter. J’ai déjà assez dépensé dans mon jardin cette année.
Je n’ai jamais réussi les boutures d’hortensia, mais c’est pas grave. Je préfère les voir s’épanouir chez les autres et profiter de leur beauté en me baladant. C’est moins de boulot !
Les « trois gestes secrets », ça me fait sourire. J’ai une voisine qui parle à ses hortensias, et ils sont magnifiques. Peut-être que le vrai secret, c’est ça : l’amour.
Si ces « trois gestes » permettent d’éviter le pourrissement, ça m’intéresse. J’ai déjà tenté, et c’est toujours la même histoire… j’espère que c’est plus concret que « parler à ses plantes ».
J’espère que ces « gestes » ne sont pas trop chronophages. J’ai peu de temps, mais j’aimerais bien tenter le coup pour avoir plus de ces magnifiques fleurs.
Bouturer, c’est une forme de magie. Si ces gestes augmentent mes chances, je suis preneur. L’idée d’offrir des hortensias faits maison, c’est sympa.
Je suis curieux de connaître ces gestes, mais je me méfie des promesses trop belles. Mes hortensias ont une âme, je le sens, et je ne crois pas aux recettes miracles.
Les hortensias, c’est un peu comme les chats : ils font ce qu’ils veulent. Si ces gestes marchent, tant mieux, mais je crois surtout qu’il faut de la patience.
J’adore les hortensias, mais j’ai arrêté de me prendre la tête avec les boutures. Je préfère les admirer dans leur pot et acheter de nouveaux plants quand l’envie me prend.
L’idée de « gestes secrets » me fait penser aux recettes de grand-mère. On verra si ça tient la route, mais je suis preneur de conseils pour éviter de jeter des bouts de plantes à la poubelle !
Des hortensias à foison sans me ruiner ? Voilà qui pique ma curiosité. J’attends de voir si ces « gestes » tiennent la route, mais si ça marche, je pourrais enfin en offrir à ma mère.
Trois gestes, c’est tout ? J’ai déjà essayé tellement de méthodes, en vain. J’attends de voir, mais je reste sceptique… le principal, c’est surtout d’accepter que parfois, ça ne prend pas, non …
J’ai toujours pensé que la réussite des boutures tenait plus à la chance et à l’environnement qu’à des astuces. J’ai hâte de lire ces gestes, mais je crois surtout à l’importance du bon timing.
J’ai plus de succès avec les boutures d’hortensias en automne qu’au printemps. La dormance hivernale semble les fortifier avant le réveil.
Des « gestes secrets »… Ça sent un peu le marketing, non ? J’espère que ce n’est pas juste rempoter en regardant le ciel. J’ai hâte de voir ce qui se cache derrière tout ça.
Moi, les hortensias, c’est une madeleine de Proust. Ça me rappelle le jardin de ma grand-mère. Si ces gestes secrets me permettent de retrouver un peu de cette ambiance.
Moi, j’ai toujours pensé que l’eau du robinet était l’ennemi. L’eau de pluie récupérée, c’est magique pour les hortensias. Ça leur rappelle leur enfance, peut-être.
Franchement, le terme « secret » me fait sourire. J’imagine déjà une histoire de PH du sol et d’exposition… J’espère juste que c’est pas trop compliqué à mettre en oeuvre.
Si c’est si simple, pourquoi personne n’en parle ? J’espère que ce n’est pas juste une façon de nous faire cliquer pour rien.
« Gestes secrets », ça sent la promesse un peu forte. Moi, ce qui me décourage, c’est surtout le temps qu’il faut y consacrer. Est-ce que ces gestes vont vraiment me faire gagner du temps ?
Je suis toujours partagé entre l’espoir et la déception avec les articles sur le jardinage. J’espère juste que ces gestes ne vont pas me demander d’acheter un énième produit « miracle ».
« Trois gestes secrets », ça fait un peu formule magique. J’espère surtout que c’est adaptable à mon balcon, pas seulement aux grands jardins.
Hortensia, bouture… ça me rappelle les après-midi passés à jardiner avec ma mère. J’espère que ces « gestes » sont plus concrets que ses incantations au soleil.
Les hortensias, c’est joli, mais ça prend une place folle. J’espère que ces gestes me permettront d’en avoir plus, sans transformer mon jardin en jungle.
J’ai cramé deux hortensias l’année dernière. J’espère que ces gestes vont m’éviter de me sentir complètement nul cette année. On verra bien !
J’ai toujours cru que les hortensias étaient capricieux par nature, presque une question de chance. Si ces « gestes » peuvent vraiment aider, tant mieux. Mais je reste sceptique.
J’adore les hortensias, mais je manque cruellement de patience. Si ces « gestes » accélèrent vraiment le processus, je suis preneur. Qui n’a pas rêvé d’un peu de magie au jardin ?
J’ai toujours pensé que le succès des boutures tenait plus à la qualité de la plante mère qu’à de quelconques « gestes secrets ». On verra bien si cet article me fait changer d’avis.
Moi, ce qui m’agace, c’est ce côté « secret ». Le jardinage, c’est du bon sens et de l’observation, pas un grimoire. J’espère que l’article ne va pas complexifier une chose qui peut rester simple.
Je me demande surtout si ces gestes fonctionnent avec toutes les variétés d’hortensias. J’en ai une à feuilles de chêne qui me donne du fil à retordre.
J’ai surtout envie de savoir si ces « gestes secrets » vont m’aider à sauver mes hortensias des limaces, parce que c’est mon principal problème, pas la reprise !
J’espère que l’article va détailler le substrat idéal. C’est souvent là que je me plante, littéralement !
Bouturer des hortensias, c’est refaire un peu le monde, non ? Chaque tige devient une promesse, un avenir fleuri. J’espère que l’article capture cette magie.
Les hortensias, ça me rappelle ma grand-mère. J’espère que ces astuces rendront hommage à son savoir-faire.
J’espère que ces fameux gestes ne sont pas trop chronophages. Mon jardin est un havre, pas une corvée !
Franchement, le côté « gestes secrets » me fait sourire. J’ai plus de succès quand je les oublie et que je laisse faire la nature.
Hortensias et moi, c’est une histoire d’amour… compliquée. J’espère que ces « gestes » vont m’éviter de pleurer devant mes tentatives ratées cette année.
Le marketing du « secret » me laisse toujours perplexe. J’espère surtout que ces conseils seront applicables dans mon climat breton, où l’humidité est déjà bien présente.
Les hortensias… J’ai arrêté de me battre. Je les laisse pousser où ils veulent, tant pis si c’est pas « parfait ». La nature fait bien les choses, souvent mieux que moi.
« Gestes secrets »… On dirait presque une recette de grand-mère ! J’espère que ça parle de bon sens plus que de formules magiques.
Moi, ce qui m’intéresse, c’est la durée de vie de la bouture. C’est bien beau que ça reprenne, mais est-ce que ça va tenir sur le long terme ?
Les hortensias, c’est joli, mais ça prend de la place. Est-ce que cet article explique comment faire des boutures qui restent petites ? Parce que mon jardin, lui, n’est pas extensible.
Des « gestes secrets », vraiment ? J’ai l’impression que la clé, c’est surtout de ne pas trop les arroser, les miens détestent ça.
J’ai toujours peur de blesser les boutures en les manipulant. J’espère que ces gestes ne sont pas trop intrusifs !
J’avoue, le côté « gestes secrets » ça me fait penser aux recettes de cuisine où l’ingrédient spécial c’est « l’amour ». J’attends de voir si ça va au-delà du simple arrosage et d’un bon terreau.
Moi, les hortensias, je les vois surtout comme un héritage familial. Ce serait chouette de pouvoir en multiplier pour les offrir, plutôt que de les acheter.
Si ça marche vraiment, ça pourrait me décider à enfin tenter le coup. J’ai toujours eu l’impression qu’il fallait un don pour les hortensias.
J’espère que les « gestes secrets » ne sont pas trop chronophages, sinon je laisse tomber.
Des hortensias faciles, c’est un peu comme le Graal du jardinier. J’espère que ces gestes ne demandent pas un équipement de pro, parce que là, c’est mort.
J’ai un hortensia qui me rappelle ma grand-mère. Si ces gestes me permettent de le perpétuer, ça vaut le coup d’essayer, même si le résultat est incertain.
J’ai toujours pensé que le succès des hortensias dépendait plus de la qualité de la terre que de gestes mystérieux. On verra bien…
Hortensias « faciles » : si ça peut me faire économiser sur les bouquets de ma femme, je suis preneur. On verra bien ce que ces « gestes » valent.
Je suis curieux de voir si ces gestes concernent le moment idéal pour prélever les boutures. C’est souvent là que je me plante.
Moi, les hortensias, ça me rappelle surtout les vacances en Bretagne. Si cette technique me permet d’avoir un peu de ça dans mon jardin, je suis prêt à essayer, même si ça demande un peu d’huile de coude.
J’ai toujours pensé que le vrai secret, c’était la patience. On verra si ces « gestes » accélèrent les choses…
« Gestes secrets »… Ça sent un peu le truc marketing pour nous vendre du rêve, non ? J’espère que le fond est là.
J’espère surtout que ces « gestes » s’adaptent aux hortensias en pot sur balcon. C’est déjà un défi en soi !
« Gestes secrets », « astuces de jardinier »… J’ai surtout peur que ce soit encore une histoire de timing parfait et de météo clémente. La nature fait souvent ce qu’elle veut, non ?
Je suis plus intéressé par savoir si ces gestes permettent de changer la couleur des fleurs. C’est toujours un mystère pour moi !
J’espère que ces « gestes » tiennent compte du climat local. Dans le sud, c’est parfois la canicule qui ruine tout, plus que les techniques de bouturage.
Hortensias, la galère ! J’ai plus de succès avec mes tomates, c’est dire… J’espère que ces gestes sont réalisables par un jardinier du dimanche comme moi.
Des hortensias réussis, ça ferait tellement joli devant ma fenêtre ! J’ai toujours eu l’impression que c’était une plante de « dame », un peu sophistiquée.
Bouturer, c’est un peu comme faire un vœu à la nature… On croise les doigts et on espère que ça prend ! J’ai souvent l’impression que c’est plus de la chance que de la technique.
Les hortensias, c’est un peu comme les chats : ils font ce qu’ils veulent, quand ils veulent. J’ai déjà essayé plein de trucs, sans succès. On verra bien ces « gestes »…
J’ai déjà tellement d’hortensias qui se plaisent… J’espère que ces gestes ne vont pas tout chambouler ! Le mieux est parfois l’ennemi du bien.
Si seulement ça pouvait être aussi simple! J’ai l’impression que chaque hortensia a sa propre personnalité et réagit différemment.
Le côté « secret » m’agace un peu.
« Trois gestes secrets », ça sent un peu le marketing à plein nez. J’aurais préféré un titre plus humble, genre « quelques astuces pour aider vos boutures ». On verra bien ce que ça donne.
J’ai toujours trouvé les hortensias un peu tristes, comme des fleurs fanées avant l’heure. Peut-être que ces gestes les rendraient plus attrayants… mais je doute que ça change mon avis.
J’adore les hortensias, mais je suis toujours un peu anxieux quand il s’agit de les bouturer. J’ai tellement peur de les abîmer, de leur faire mal ! J’espère que ces gestes sont doux…
L’hortensia, c’est la plante de ma grand-mère. J’espère que ces « gestes secrets » ne vont pas dénaturer le côté un peu désuet qui me plaît tant.
J’espère surtout que ces gestes ne nécessitent pas un équipement de pro. Mon balcon est déjà plein de pots, je n’ai plus de place pour des gadgets !
Moi, j’attends de voir la liste des gestes. Si c’est encore une histoire de PH du sol, je passe mon tour. J’ai déjà assez de problèmes comme ça.
« Secret » ou pas, j’espère surtout que ça marchera pour mes hortensias grimpants. Ils sont magnifiques, mais tellement lents à démarrer ! Si ces gestes pouvaient booster leur croissance, ce serait génial.
Moi, les hortensias, c’est une histoire d’odeur, celle de l’enfance, chez mes parents. Si ces gestes me permettent de retrouver ce parfum si particulier, j’essaierai.
Des hortensias réussis, c’est chouette, mais je me demande si on ne perd pas le charme de l’imprévu. Une floraison un peu timide a son charme, non ?
« Secrets », « gestes », on dirait qu’on parle d’une recette de grand-mère, pas de jardinage ! J’espère que ce n’est pas trop ésotérique et qu’il y a une explication scientifique derrière.
Bouturer, c’est un peu comme adopter un animal : on espère le meilleur, mais on n’est jamais sûr du résultat. J’espère que ces « gestes » ne sont pas trop contraignants.
« Gestes secrets », ça fait un peu recette miracle. J’espère surtout que ce n’est pas du charlatanisme et que ça se base sur des principes agronomiques solides.
« Trois gestes secrets », ça fait un peu potion magique, non ? J’espère que ça ne va pas me transformer en apprenti sorcier !
J’ai surtout peur que ces « gestes secrets » rendent l’hortensia trop parfait. Son côté un peu sauvage, c’est ça qui me plaît.
L’hortensia, c’est tellement capricieux ! J’espère que ces gestes tiennent compte de la région. Ici, en Bretagne, c’est la pluie qui décide, pas le jardinier.
Mouais, « trois gestes secrets »… ça sent un peu le marketing tout ça. J’espère surtout que ce n’est pas compliqué à mettre en œuvre.
J’ai toujours pensé que le plus important était la qualité de la terre et l’exposition. Des gestes « secrets », je suis sceptique.
Si ça peut éviter de voir mes boutures finir en paillis, je suis preneur. J’espère que ces « gestes » ne demandent pas un doctorat en botanique !
J’ai déjà essayé plein de trucs pour mes hortensias, rien n’y fait. Si ça marche vraiment, banco ! Mais j’attends de voir ces gestes, on verra bien.
J’adore les hortensias, mais les boutures, c’est toujours la roulette russe ! On verra si ces gestes peuvent m’aider à limiter la casse.
Je suis curieux. Mes hortensias me donnent tellement de joie, l’idée de les multiplier simplement est séduisante. J’attends de voir les détails.
J’avoue, le côté « secret » me fait sourire. J’espère surtout que ce sont des choses logiques et pas des incantations ! Après, si ça marche, tant mieux, je suis toujours à l’affût de bons conseils.
J’ai plus de succès avec le marcottage qu’avec les boutures. Moins de stress pour la plante, et pour moi !
Le « secret » m’agace un peu, mais si ça démystifie la bouture d’hortensia, tant mieux ! J’ai toujours cru que c’était réservé aux experts.
Les hortensias, c’est un peu comme les chats, chacun a sa personnalité. J’ai plus de chance en les laissant presque se débrouiller seuls qu’en suivant des recettes miracles.
J’ai offert un hortensia à ma grand-mère, elle l’a gardé 20 ans ! Peut-être que le vrai secret, c’est juste la patience et un peu d’amour.
J’ai toujours échoué avec les hortensias. Peut-être que je suis trop impatient. Je vais tenter, en me disant que si ça ne marche pas, ce n’est pas grave.
Les hortensias me rappellent ma grand-mère et son jardin. J’espère que ces gestes « secrets » ne sont pas trop contraignants, je n’ai pas la main verte de mamie !
J’ai toujours pensé que le sol jouait un rôle majeur. On parle souvent de l’exposition, mais la terre, c’est la base, non ?
Les hortensias, c’est beau, mais ça prend de la place. Multiplier, pourquoi pas, si on a un grand jardin à meubler !
J’espère que ces gestes concernent l’arrosage ! J’ai tendance à noyer mes plantes, même les plus résistantes.
« Trois gestes secrets », ça fait un peu « méthode miracle » vendue à la télé. J’espère surtout qu’ils ne préconisent pas d’exposer mes boutures en plein soleil !
J’espère que cet article va enfin m’éviter de supplier ma voisine de me donner des boutures ! Marre de dépendre de sa générosité pour avoir des jolies fleurs bleues.
Moi, les hortensias, c’est toujours un peu la loterie. Tantôt ils explosent de fleurs, tantôt ils font la tête. Je me demande si ces gestes vont vraiment changer la donne.
J’ai surtout envie de savoir si ces gestes sont compatibles avec mon balcon. J’ai pas la place pour une pépinière, alors si c’est compliqué, je passe mon tour.
« Trois gestes secrets », ça me fait penser aux pubs pour maigrir. J’attends de voir ce qu’ils valent vraiment, ces secrets… J’espère qu’ils sont applicables en pot, parce que le jardin, c’est pas pour moi.
J’ai surtout envie de savoir si ça marche avec les hortensias paniculés. Les macrophyllas, c’est joli, mais un peu trop « classique » à mon goût.
Hortensias, boutures… ça me rappelle les après-midis pluvieux passés chez ma tante. J’espère que ces « secrets » sont moins compliqués que ses explications !
Des hortensias à foison, c’est séduisant, mais je préfère me concentrer sur la santé de ceux que j’ai déjà. La multiplication, c’est une autre paire de manches !
Les hortensias, c’est la madeleine de Proust de mon enfance. Si cet article me permet de retrouver ce plaisir sans trop d’efforts, je suis preneur !
Bouturer des hortensias, c’est comme parier : parfois on gagne, souvent on perd. Si ces « gestes secrets » m’évitent le sentiment d’avoir gâché une belle branche, je suis partant.
Des gestes secrets… Mouais. J’attends surtout qu’ils soient simples et peu coûteux. J’ai pas envie d’investir dans du matériel sophistiqué pour quelques boutures.
J’espère surtout que ces « gestes secrets » ne sont pas un truc de pro. J’ai pas le temps de me prendre pour un horticulteur. Un truc simple, rapide et efficace, c’est tout ce que je demande !
J’ai déjà essayé de bouturer des hortensias, sans succès. J’espère que ces « gestes » éviteront surtout le développement de moisissures, c’est toujours là que ça coince chez moi.
Bouturer, j’ai toujours trouvé ça un peu magique. Si cet article démystifie le truc pour les hortensias, tant mieux ! J’espère juste que ça ne tue pas le charme de la chose.
Les hortensias, c’est joli, mais ça demande tellement d’eau… J’espère que ces gestes « secrets » ne vont pas encore alourdir ma facture !
J’avoue que « gestes secrets », ça fait un peu recette de grand-mère. J’espère surtout que ces astuces concernent le substrat, c’est souvent ça que je néglige.
J’ai toujours pensé que le secret des hortensias résidait dans la patience, pas dans des tours de main. On verra bien.
Hortensias… le bleu de mon jardin me manque. Si ces astuces me ramènent cette couleur, je suis prêt à essayer.
Hortensias et moi, c’est une longue histoire de déceptions. J’espère juste que ces « gestes » ne demandent pas d’avoir la main verte, parce que moi, elle est plutôt marron…
J’espère que ces « gestes » concernent la période idéale pour bouturer. J’ai toujours fait ça au feeling, peut-être que c’est ça le problème.
« Gestes secrets »… ça sent l’article à clics, non ? J’espère que ça ne va pas finir en liste de courses d’amendements hors de prix.
« Gestes secrets » ou pas, l’important c’est surtout d’avoir des hortensias qui survivent à l’été, chez moi c’est toujours la catastrophe. On verra bien ce que ça dit.
Je suis curieux de voir si ces gestes règlent le problème du dessèchement des fleurs en été. J’ai beau arroser, elles finissent toujours par griller.
J’ai l’impression d’entendre ma grand-mère promettant un remède miracle contre tous les maux. J’attends de voir ce que ces « gestes » ont de si exceptionnel…
Bouturer, c’est un peu comme tenter une nouvelle recette : parfois ça prend, parfois non. J’espère que ces « gestes » ne sont pas trop compliqués, je suis plutôt du genre à faire au plus simple.
Moi, ce qui me stresse, c’est l’arrosage après la bouture. Trop, pas assez… J’espère que les gestes secrets en parlent !
Trois gestes secrets, ça fait un peu formule magique. J’espère que l’article va au-delà des solutions évidentes qu’on trouve partout.
Bouturer, c’est un peu stressant, on a l’impression de maltraiter la plante.
Des hortensias rescapés, ce serait déjà formidable ! L’an dernier, j’ai tout perdu à cause des limaces… Pourvu que ces gestes les éloignent !
Moi, les hortensias, c’est surtout pour le côté nostalgique. Ça me rappelle le jardin de ma tante. J’espère que l’article va évoquer la patience, plus que des « gestes miracles ».
L’idée de « gestes secrets » me fait sourire. J’espère surtout que l’article ne va pas occulter l’importance de la patience et de l’observation. C’est ça, le vrai secret du jardinage.
Si ça parle d’hortensias bleus, je suis preneur. Impossible d’acidifier ma terre, j’ai tout essayé!
Hortensias et « gestes secrets », ça me rappelle surtout les recettes de grand-mère qu’on gardait pour soi. L’article va-t-il vraiment partager des vrais trucs, ou juste des banalités ?
J’espère que ces « gestes secrets » sont compatibles avec mon balcon orienté plein nord. L’ensoleillement, c’est souvent le grand oublié des conseils de jardinage.
Les hortensias, c’est beau, mais quelle galère ! J’ai déjà tellement investi en terre de bruyère… J’espère que ces gestes ne vont pas me ruiner encore plus.
J’ai toujours pensé que le vrai secret, c’était la bonne étoile du jardinier. On verra bien si ces gestes font le poids face au destin !
J’avoue, le titre est accrocheur. « Gestes secrets », ça donne envie de percer un mystère. Pourvu qu’il y ait plus que du bon sens paysan revisité.
Moi, ce qui me stresse, c’est surtout de pas savoir quand prélever les boutures. On nous dit toujours « au bon moment », mais c’est quoi, le bon moment ?
Des « gestes secrets », ça me fait penser aux incantations des druides ! Tant que ça ne demande pas de sacrifier un escargot au clair de lune, je suis prêt à essayer.
J’ai déjà réussi des boutures d’hortensia, sans « gestes secrets ». Le plus important, c’est l’humidité constante, pas les trucs mystérieux.
Ou :
Mouais, j’attends de voir ces fameux gestes.
« Gestes secrets », hein? Moi, je suis surtout curieux de savoir si ces gestes peuvent sauver mes boutures des attaques de limaces. C’est mon vrai fléau, bien plus que le noircissement des tiges!
« Gestes secrets »… J’espère que ça marche aussi pour les hortensias en pot, sur ma terrasse. Ils ont l’air toujours assoiffés, les pauvres.
J’espère surtout que ces gestes sont faciles à mettre en œuvre. J’ai deux mains gauches, alors les techniques compliquées, c’est mort d’avance.
« Gestes secrets », ça fait un peu recette de grand-mère, non ? J’espère que ça ne va pas demander des ingrédients introuvables ou des horaires impossibles à tenir.
« Gestes secrets », ça sent le marketing, quand même. J’espère que l’article explique pourquoi ces gestes sont si importants, et pas juste « faites ça parce que je le dis ».
« Gestes secrets » ou pas, moi, le principal, c’est que ça m’évite d’en racheter tous les ans. Si ça prolonge la vie de mes hortensias, je suis preneur.
J’espère que ces « gestes secrets » concernent la qualité de l’eau. J’ai l’impression que mes hortensias sont capricieux, et je me demande si l’eau du robinet y est pour quelque chose.
Moi, je me demande surtout si ça va me faire économiser de l’engrais. J’en ai marre de dépenser une fortune pour avoir de belles fleurs.
J’ai tellement galéré avec les boutures d’hortensia que je suis prêt à tout essayer. Pourvu que ça marche, parce que j’en ai marre de les voir mourir.