Prix réels BMW Porsche Audi neuves : ‘ils gonflent tout mais cette astuce montre les vraies marges’

Acheter une voiture neuve de marque allemande est devenu un véritable casse-tête financier. Les prix affichés en concession semblent avoir perdu tout contact avec la réalité, grimpant de plus de 25% en seulement quatre ans. Cette inflation galopante n’est pas une fatalité liée aux crises successives. Une analyse approfondie révèle que derrière les justifications officielles se cache une stratégie délibérée des constructeurs pour maximiser leurs profits, au détriment des acheteurs. Il existe cependant une méthode pour décrypter ces marges et comprendre le vrai coût de votre futur véhicule.

La flambée des prix : une stratégie assumée par les constructeurs

L’époque où l’on pouvait négocier une remise substantielle sur une berline premium semble révolue. Aujourd’hui, les tarifs sont non seulement élevés mais aussi rigides. Cette situation est le fruit d’une décision stratégique des marques, qui ont profité des pénuries pour tester le marché et imposer de nouveaux standards de prix, bien au-delà de l’inflation ou des coûts réels de production.

Le témoignage d’un acheteur désabusé

Julien Dubois, un cadre commercial de 42 ans vivant à Lyon, en fait l’amère expérience. « Je voulais remplacer ma berline actuelle par un modèle équivalent plus récent. Le même véhicule, avec des options similaires, a pris près de 20 000 euros en quatre ans. C’est devenu délirant, on se demande où est la vraie valeur. »

Comme beaucoup, Julien pensait que la hausse était due aux composants électroniques. En se penchant sur les rapports financiers des constructeurs, il a compris que l’augmentation des marges était l’objectif principal. Cette prise de conscience l’a poussé à repousser son achat, se sentant floué par cette nouvelle politique tarifaire.

Les raisons techniques et réglementaires en façade

Les fabricants mettent en avant plusieurs facteurs pour justifier ces hausses. Parmi eux :

  • Le passage à des normes de dépollution plus strictes comme la norme Euro 6d.
  • Les coûts élevés liés au développement des motorisations hybrides et électriques.
  • La montée en gamme générale des véhicules, avec plus d’équipements de série.

Cependant, une étude de l’institut mobilités en transition a démontré que ces éléments ne justifient que la moitié de la hausse observée. Le reste provient d’une augmentation pure et simple des marges.

Décrypter les vraies marges : l’astuce à connaître

Comprendre où se cachent les profits des constructeurs est essentiel avant de signer un bon de commande. L’astuce consiste à ne pas se fier au prix global mais à décomposer l’offre. Il faut analyser l’évolution du coût des options et des finitions d’une année sur l’autre. C’est souvent là que les augmentations sont les plus significatives et les moins justifiées.

Comparer les offres de financement et les packs

Les offres de location avec option d’achat (LOA) masquent souvent le coût réel du véhicule. Il est crucial de calculer le coût total après les 36 ou 48 mois de location, incluant l’apport et la valeur de rachat.
De plus, analysez les « packs » d’options :

  • Équipements autrefois de série : Vérifiez si des fonctionnalités standard sur l’ancienne génération sont devenues des options payantes.
  • Inflation des packs : Comparez le prix d’un pack « sport » ou « confort » avec celui du modèle précédent. L’augmentation est souvent bien supérieure à l’ajout de nouvelles technologies.
Facteur de hausse de prix Part imputable (selon l’étude IMT) Exemple concret
Surcoûts de production / Pénuries ~6% Hausse du prix des matières premières et semi-conducteurs.
Montée en gamme / Équipements ~8% Ajout d’écrans plus grands, aides à la conduite.
Stratégie tarifaire / Marges ~11% Augmentation des prix de base et des options sans justification technique.

L’impact sur le marché de l’occasion et la société

Cette inflation sur le neuf contamine inévitablement le marché de l’occasion. Les véhicules récents de marques premium voient leur cote grimper, rendant l’accès à une voiture fiable et sûre de plus en plus difficile pour les classes moyennes. Ce phénomène crée une véritable fracture sociale, où la mobilité individuelle devient un marqueur de richesse.

Cette stratégie ouvre également un boulevard pour de nouveaux concurrents, notamment asiatiques, qui pourraient proposer des véhicules bien équipés à des tarifs plus compétitifs, bouleversant ainsi le paysage automobile européen à long terme. La question se pose : les constructeurs historiques ne sont-ils pas en train de scier la branche sur laquelle ils sont assis ?

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289 réflexions sur “Prix réels BMW Porsche Audi neuves : ‘ils gonflent tout mais cette astuce montre les vraies marges’”

  1. Si c’est vraiment une stratégie, c’est risqué. Le luxe, c’est désirable, pas exorbitant. J’ai peur que ça finisse par lasser les clients.

  2. Je suis passé chez Audi récemment et j’ai été refroidi. On dirait qu’ils vendent du rêve plus que des voitures. Le rêve a un prix, certes, mais là… ça pique un peu trop.

  3. Je me demande si cette « astuce » mentionnée dans le titre est vraiment fiable. J’attends de voir les détails avant de crier au scandale.

  4. J’ai l’impression que c’est devenu un cercle vicieux. Les prix montent, on râle, mais on achète quand même. Tant qu’il y aura de la demande…

  5. C’est simple : je regarde ailleurs. Il y a d’excellentes alternatives, souvent moins tape-à-l’oeil, mais tout aussi performantes. Et plus abordables.

  6. Ça me désole pour ceux qui rêvent d’une allemande, mais perso, je préfère investir dans l’ancien. Au moins, on sait ce qu’on achète et on n’alimente pas cette folie.

  7. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la pression que ça met sur le marché de l’occasion. Si le neuf devient inaccessible, la demande explose sur le reste.

  8. Le problème, c’est pas tant le prix, c’est qu’on ne sait plus ce qu’on paie vraiment. On a l’impression d’être pris pour des pigeons.

  9. Moi, je me demande surtout si cette flambée des prix affecte la qualité de la fabrication ou si on paie juste plus cher pour la même chose.

  10. Franchement, ça me fait relativiser mon envie de changer de voiture. Peut-être que je devrais me concentrer sur l’entretien de celle que j’ai déjà…

  11. Je me demande si l’électrification croissante n’y est pas pour quelque chose. On nous vend des batteries hors de prix, cachées derrière le prestige de la marque.

  12. Ça me rappelle quand j’ai acheté ma première Golf en 2005. Déjà à l’époque, j’avais l’impression de me faire avoir un peu… J’imagine pas aujourd’hui !

  13. Je me demande si cette « astuce » mentionnée dans le titre est vraiment à la portée du consommateur lambda. On parle de marges, mais l’accès à l’information reste opaque.

  14. J’ai l’impression que le « rêve allemand » devient un cauchemar financier. Bientôt, ce sera réservé à une élite.

    Je me demande si l’image de marque justifie vraiment un tel écart de prix.

  15. Je soupçonne que la pénurie de composants a bon dos. On l’utilise pour justifier des hausses injustifiées.

    Je suis curieux de savoir si les mandataires auto proposent des alternatives plus intéressantes.

  16. Je trouve ça ironique que ces marques, autrefois synonymes de fiabilité, soient maintenant associées à des prix gonflés. La « qualité allemande » justifie-t-elle vraiment cet écart ?

  17. On dirait qu’ils essaient de nous faire croire que rouler en allemande est un luxe ultime, alors que c’était juste une bonne bagnole avant.

    Et si on arrêtait de les acheter, on verrait s’ils baissent leurs prix ? C’est peut-être ça, l’astuce.

  18. Avant, on achetait allemand pour être tranquille. Maintenant, on dirait qu’on paie surtout pour le logo.

    Finalement, rouler en Dacia, c’est peut-être pas si ringard.

  19. Moi, ce qui m’inquiète, c’est pas tant le prix, c’est la fiabilité qui semble baisser en même temps. On paie plus cher pour moins bien ? Drôle d’équation.

  20. Franchement, ça me dégoûte un peu. J’ai toujours rêvé d’une Porsche, mais à ce rythme, je vais finir en trottinette électrique.

    C’est quand même triste de voir des marques comme ça se transformer en symboles de statut social inabordables.

  21. Moi, je me demande si cette course aux profits ne va pas tuer l’image de ces marques à long terme. Le rêve est peut-être en train de se fissurer.

  22. Moi, j’ai toujours pensé que ces marques vendaient surtout un sentiment de sécurité. Si le prix augmente mais que la perception de sécurité diminue, ça ne marchera plus.

  23. C’est peut-être le moment de se tourner vers l’électrique, non ? J’imagine que la concurrence va forcer tout le monde à revoir ses tarifs.

  24. Ils oublient le marché de l’occasion. On trouve des modèles récents, bien entretenus, à des prix bien plus raisonnables. Pourquoi s’obstiner à acheter neuf ?

  25. C’est fou comme ces marques sont devenues des placements financiers plus que des voitures. On dirait qu’elles visent une clientèle qui s’en fiche du prix.

  26. Je comprends l’article, mais je crois qu’on oublie souvent le coût de la main d’œuvre qualifiée. Un bon mécanicien allemand, ça se paye.

  27. Je me demande si cette focalisation sur les marges ne masque pas une autre réalité : l’augmentation des coûts de production avec les nouvelles technologies et normes environnementales.

  28. J’ai l’impression qu’ils misent sur le prestige de l’image plus que sur la qualité intrinsèque de leurs voitures. Le « made in Germany » ne suffit plus à justifier ces prix.

  29. Perso, je trouve qu’on parle beaucoup des marques allemandes, mais les françaises ne sont pas en reste côté augmentation de prix. On dirait que c’est la tendance générale.

  30. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la disparition progressive des modèles « de base ». On est obligé de passer par des finitions plus chères pour avoir le minimum vital.

  31. C’est marrant, on dirait qu’on découvre l’eau chaude. Moi, je me dis que si ça se vend, ils ont bien raison de gonfler les prix. C’est le marché, non ?

  32. Je trouve ça dommage. J’ai toujours rêvé d’une Porsche, mais à ce rythme, ça restera un rêve. Peut-être que je devrais regarder du côté des voitures électriques chinoises finalement.

  33. Je ressens une certaine amertume. J’ai bossé dur pour pouvoir m’offrir une allemande et maintenant, j’ai l’impression de me faire avoir. C’est démotivant.

  34. Je me demande si, à force de gonfler les prix, ils ne vont pas scier la branche sur laquelle ils sont assis. Le luxe a ses limites, même pour les Allemandes.

  35. Le « rêve allemand » devient un cauchemar pour le portefeuille. Je me demande si la qualité suit encore cette flambée des prix. Parce que si c’est juste pour la marque, ça ne vaut plus le coup.

  36. Je me demande si cette « astuce » ne sert pas aussi à justifier les remises plus importantes qu’ils peuvent ensuite accorder. Un peu comme le prix de base qui n’est jamais vraiment le prix payé.

  37. Je crois que le vrai problème, c’est qu’on idéalise trop les marques allemandes. Il y a d’excellentes alternatives ailleurs, souvent moins chères et tout aussi fiables.

  38. C’est fou comme on parle toujours du prix d’achat. Mais l’entretien, l’assurance… c’est ça le vrai gouffre financier d’une allemande !

  39. Franchement, je me demande si cet article ne rate pas un truc : la demande explose aussi à l’étranger, non ? C’est peut-être mondial, le problème.

  40. Je me suis toujours demandé qui achète ces voitures au prix fort. Peut-être que ce sont les entreprises qui les prennent en leasing pour leurs cadres. Le particulier, lui, il regarde ailleurs.

  41. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on nous fait culpabiliser d’acheter une voiture « plaisir » quand on a du mal à boucler les fins de mois.

  42. Moi, je me dis que si les prix montent, c’est peut-être aussi parce que les modèles sont de plus en plus sophistiqués. On en demande toujours plus, non ?

  43. Perso, je pense qu’on oublie souvent la valeur résiduelle. Une allemande se revend mieux, ça compense peut-être un peu le prix neuf élevé, non ?

  44. Et si le problème venait aussi du manque de concurrence ? On a moins le choix qu’avant sur le marché.

    C’est pas faux, le prix catalogue est une base de négociation.

  45. Moi ce qui me chiffonne, c’est qu’on parle de « vraies marges ». Mais c’est quoi une « vraie » marge, au juste? Chacun fait son business, non?

  46. Ce qui me choque, c’est qu’on parle de « vraies marges » alors que les options sont devenues un business à part entière. Un comble !

  47. On idéalise trop ces marques. Ma vieille Twingo me transporte aussi, et sans me ruiner. L’important, c’est le voyage, pas l’emblème sur le capot.

  48. J’ai l’impression qu’on oublie la pression des normes environnementales. Elles coûtent cher à intégrer, et ça se répercute forcément sur le prix final.

  49. Je me demande si cette obsession sur les marges est vraiment le bon angle. Finalement, si les gens achètent, c’est qu’ils y trouvent leur compte, non ?

  50. Je trouve que l’article oublie un peu vite le plaisir qu’on peut avoir à conduire ces voitures. C’est un investissement, certes, mais aussi une passion.

  51. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la déconnexion avec la classe moyenne. Ces marques deviennent inaccessibles. On va finir par rouler tous en Dacia.

  52. Moi, j’y vois surtout un aveu : on a été trop longtemps naïfs face au marketing. Ils nous vendent du rêve, et on achète le rêve, pas la voiture.

  53. Perso, je me demande si c’est pas aussi la faute aux options. On te vend une base à prix « correct », mais après faut rajouter 15k pour avoir une voiture correcte.

  54. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « bling-bling » assumé. On achète plus une voiture, mais un statut social. C’est ça qui justifie les prix ?

  55. Je me demande si l’électrification n’est pas un facteur clé. Ils doivent bien financer la transition quelque part.

    C’est sûr que ça pique, mais est-ce qu’on ne voit pas la même chose dans d’autres secteurs ?

    J’ai l’impression que c’est le prix à payer pour l’innovation technologique embarquée.

  56. Franchement, je me demande si une partie du problème ne vient pas de nous. On se plaint, mais on continue d’acheter. L’offre suit la demande, non ?

  57. Ce qui me dérange le plus, c’est le manque de transparence. On a l’impression d’être pris pour des vaches à lait, sans comprendre le détail des coûts. Ça gâche le plaisir potentiel de l’achat.

  58. À force de se focaliser sur les marques premium, on oublie qu’il existe d’excellentes alternatives, parfois même plus fiables. Le prestige a un prix, mais il n’est pas forcément synonyme de qualité supérieure.

  59. Leur forcing sur le « prestige allemand » me rappelle surtout que l’entretien coûte un bras ensuite. J’ai un ami qui regrette amèrement son achat.

  60. Je ne suis pas certain que ce soit une stratégie si délibérée. Peut-être qu’ils essaient juste de maintenir leurs marges face à l’augmentation du coût des matériaux et de la main d’œuvre ?

  61. Moi, ce qui me frustre, c’est le sentiment que l’automobile devient un luxe inaccessible. Bientôt, on ne pourra plus que les admirer en vitrine.

  62. Moi, je trouve qu’on oublie un peu vite l’impact des normes environnementales toujours plus strictes. Ça a un coût, et il est forcément répercuté.

  63. Moi, ce qui me fait tiquer, c’est qu’on parle toujours du prix d’achat, jamais de la décote infernale dès qu’on sort de la concession. C’est là, la vraie perte.

  64. Moi, je me demande si le problème n’est pas plus profond : on veut toujours plus d’options, plus de technologie, et évidemment, ça se paie. On est les premiers à râler si une voiture n’a pas le dernier gadget.

  65. Franchement, je me demande si on ne fantasme pas un peu trop sur ces marques. Ma vieille voiture fait le job, et au final, c’est ça l’important.

    Peut-être qu’on devrait arrêter de courir après le…

  66. Personnellement, je trouve que l’article met le doigt sur un problème réel : le rêve automobile allemand devient un cauchemar financier pour beaucoup.

  67. En fait, ça me fait penser que l’attrait pour ces marques est aussi une question de statut social, non ? On achète plus qu’une voiture.

  68. Plutôt que de blâmer les marques, je me demande si notre propre désir de « premium » n’alimente pas cette spirale. On est prêts à payer plus cher, alors pourquoi s’en priveraient-ils ?

  69. C’est vrai que ça pique, mais soyons honnêtes, une Dacia fait le même boulot pour aller d’un point A à un point B. On paie la marque, point.

  70. C’est pas faux, mais les constructeurs français en font autant. On idéalise peut-être l’herbe du voisin ?

    On oublie souvent que ces marques, c’est aussi des emplois ici.

  71. C’est vrai que les prix flambent… Mais j’ai l’impression que la vraie marge, ils la font surtout sur les options obligatoires, celles qu’on te vend comme « indispensables ».

  72. L’article pointe une chose intéressante, mais qui achète encore une voiture neuve sans négocier ? Le prix catalogue, c’est juste un point de départ.

  73. Je me demande si l’électrification à marche forcée n’est pas aussi une bonne excuse pour justifier ces hausses de prix. On nous dit que c’est le futur, donc on accepte de payer plus cher, même si on n’est pas convaincu.

  74. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous prend pour des pigeons. On nous vend du rêve, mais le rêve coûte de plus en plus cher. J’ai l’impression qu’ils testent les limites de notre patience.

  75. Franchement, ça me décourage de plus en plus de remplacer ma voiture. Je crois que je vais la garder encore quelques années, tant pis pour les petites réparations.

  76. La « vraie marge », je pense qu’elle est là où on ne la voit pas : les services après-vente et les pièces détachées. Là, on est vraiment captifs.

  77. J’ai toujours pensé que la valeur d’une voiture, c’est surtout le plaisir qu’elle procure. Si ça devient une source de stress financier, où est l’intérêt ?

  78. Personnellement, je trouve ça risible qu’on s’étonne encore. C’est le capitalisme, non ? Ils vendent tant qu’ils peuvent et au prix le plus haut possible.

  79. C’est vrai que l’article est pertinent. Mais je me demande : est-ce qu’on ne compare pas l’incomparable ? La qualité a un prix, non ?

  80. Ils misent sur l’image, la réputation. C’est un cercle vicieux: plus c’est cher, plus ça paraît désirable. Ça marche, visiblement.

    C’est vrai que les prix sont fous.

  81. Moi, ce qui me frappe, c’est le côté « mouton » qu’on a parfois. On veut tous la même chose, même si ça nous ruine. Y’a d’autres marques aussi bien, non ?

  82. Je me demande si cette « astuce » dont l’article parle, c’est vraiment accessible au commun des mortels ou juste un truc pour initiés.

  83. Moi, ce qui me désole le plus, c’est la course à la dernière option. On se sent obligé de tout cocher pour « être à la hauteur ».

  84. On parle toujours de marges, mais les coûts de production, eux, ils ont vraiment augmenté ou pas ? J’aimerais bien voir un comparatif transparent.

  85. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la valeur de revente qui s’effondre si vite après. On paie le prix fort pour un truc qui décote à vitesse grand V.

  86. Moi, je vois surtout que ces marques sont devenues un marqueur social. On achète plus un statut qu’une voiture, au final. C’est triste, non?

  87. Franchement, ça me rappelle l’immobilier. On nous fait croire à une pénurie, à une « valeur refuge », et on finit par payer le prix fort pour pas grand-chose de plus.

  88. Je me demande si on ne se focalise pas trop sur le prix catalogue. Au final, qui paie plein pot ? La négociation, ça existe encore, non ? C’est là qu’on voit la vraie marge.

  89. C’est vrai que les prix sont fous. Mais est-ce qu’on a vraiment besoin de ces voitures pour être heureux ? Moi, ma vieille bagnole me suffit amplement.

  90. À ce prix-là, autant passer à l’électrique. Au moins, on a l’impression de faire un geste pour la planète en plus de se ruiner.

    Ces augmentations me font penser à la bulle internet des années 2000.

  91. J’ai l’impression qu’ils testent notre loyauté de consommateurs. Jusqu’où ira-t-on avant de dire stop ?

    La vraie astuce, c’est peut-être de regarder du côté des marques moins bling-bling.

  92. C’est un peu facile de taper sur les constructeurs. La demande est là, non ? S’il n’y avait plus d’acheteurs, les prix baisseraient.

  93. Je me demande si la complexification des modèles avec toujours plus d’électronique embarquée n’est pas une explication plus simple de ces hausses. Moins sexy, mais peut-être plus réaliste.

  94. Je lorgne sur une BMW depuis des années, mais là, ça calme. Je vais peut-être me rabattre sur une occasion récente, bien négociée, plutôt que de cautionner ces dérives.

  95. Je trouve que l’article oublie une chose : l’impact des normes environnementales, toujours plus strictes, sur le coût de production. Ça a forcément un impact sur le prix final.

  96. SportifDuDimanche

    C’est vrai que c’est cher, mais je me demande si on prend en compte la qualité perçue, la durabilité. Une Dacia à 15k€, ça dure combien de temps ?

  97. Moi, je me dis que si les prix montent autant, c’est qu’il y a encore des gens prêts à payer. Le jour où ça craquera, ils reverront leur copie.

  98. ProvincialeHeureuse

    Franchement, ça me rappelle l’immobilier. On nous dit que c’est la crise, mais les prix continuent de grimper. J’ai l’impression qu’on est pris en otage.

  99. MécanicienRetraité

    Moi, j’ai juste arrêté de rêver. Je garde ma vieille bagnole, elle roule encore. Le plaisir d’une belle allemande ne vaut plus le sacrifice financier.

  100. InstitutricePassionnée

    C’est clair qu’on est plus dans le rêve accessible. Perso, je me demande si c’est pas le moment de tenter l’électrique, quitte à changer mes habitudes.

  101. Je me demande si cette course aux profits ne va pas les pousser à se tirer une balle dans le pied. À force de viser le premium, ils risquent d’oublier leurs clients « normaux ».

  102. J’ai l’impression qu’ils oublient qu’on peut regarder ailleurs. La concurrence asiatique est de plus en plus crédible, et moins chère.

  103. Je trouve ça cynique, mais au fond, ils font ce que n’importe quelle entreprise ferait : maximiser le profit. Après, à nous de choisir si on accepte de jouer le jeu.

  104. Je suis surtout déçu. J’ai toujours idéalisé ces marques.

    On dirait qu’ils misent tout sur une clientèle ultra-riche. C’est dommage.

    Le SAV suit-il la même inflation ? J’en doute.

  105. Je me demande si cette course au profit ne va pas tuer l’innovation. À force de se concentrer sur le haut de gamme, ils délaissent peut-être les avancées techniques plus accessibles.

  106. Et dire qu’avant, on parlait de « qualité allemande »… Maintenant, on dirait qu’il n’y a que le prix qui soit « allemand ».

  107. Je ne suis pas surpris. Ma vieille BMW roule encore très bien, et je ne suis pas sûr que les modèles récents soient plus fiables, malgré le prix.

  108. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact écologique de cette surenchère. Toujours plus de puissance, toujours plus d’options… Est-ce vraiment nécessaire ?

  109. Moi, ce qui m’agace, c’est que ces marques créent un besoin artificiel. On se sent presque obligé d’en avoir une pour « réussir ».

  110. Moi, je trouve ça triste. J’aimais l’idée qu’une belle mécanique puisse être le fruit d’une passion, pas juste d’un tableur Excel.

  111. Je me demande si cette stratégie n’est pas un peu à courte vue. À force de viser le très haut de gamme, ils ne risquent pas de se couper d’une partie de leur clientèle historique ?

  112. J’ai l’impression que l’article oublie un peu vite l’électrification massive. C’est coûteux à développer, et ça se répercute forcément.

  113. Je pense que cet article pointe du doigt une réalité : on fantasme plus la marque que la voiture elle-même. Le logo sur le capot a pris une valeur démesurée.

  114. C’est pas faux, mais on oublie que l’inflation touche tout. Les matières premières ont flambé, ça joue aussi.

    Finalement, on paie plus cher, mais tout le monde est logé à la même enseigne.

  115. Sébastien Bernard

    Ce qui me frappe, c’est qu’on accepte ça. On râle, certes, mais on continue à acheter. C’est peut-être là le vrai problème.

  116. C’est vrai que c’est cher, mais l’article oublie le prestige. On achète aussi un rêve, une image. Un peu comme un sac de luxe.

  117. Alexandre Bernard

    En tant que mécanicien, je vois surtout des voitures bourrées d’électronique fragile. Le prix ne justifie plus la fiabilité.

    C’est vrai que la marge doit être énorme, mais le service après-vente suit-il ? J’ai des doutes.

  118. Je me demande si cette complexité tarifaire n’est pas une façon de décourager l’achat, finalement. On nous pousse vers la location longue durée, non ?

  119. Christophe Bernard

    Moi, ce qui m’agace, c’est l’obsolescence programmée déguisée en « nouvelles technologies ». On nous force à changer tous les 5 ans !

  120. Moi, ce qui me dérange le plus, c’est le sentiment d’être pris pour un pigeon. On sait qu’on paie la marque, mais à ce point-là…

  121. Je crois que l’article manque un peu de perspective. Mon père a toujours juré par BMW, et il a jamais eu de problèmes majeurs. C’est un investissement sur le long terme, non ?

  122. François Bernard

    Moi, ce qui me sidère, c’est qu’on compare toujours ces voitures à des produits de luxe. C’est devenu un besoin, pas un caprice. On a besoin de se déplacer, non ?

  123. Grégoire Bernard

    Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact écologique de cette course à la marge et à la nouveauté. On produit toujours plus cher, mais aussi toujours plus. On s’éloigne de l’essentiel, non ?

  124. On parle beaucoup des constructeurs allemands, mais qu’en est-il des autres marques « premium » ? Sont-elles si différentes, finalement ? Le problème est peut-être plus global.

  125. Je me demande si ce n’est pas aussi la faute de nous, les consommateurs. On veut toujours plus d’options, plus de puissance, et forcément, ça se répercute sur le prix final.

  126. Franchement, je me demande si le rêve automobile allemand n’est pas en train de virer au cauchemar. On fantasme la qualité, mais on se réveille avec une facture salée.

  127. C’est fou comme on diabolise les constructeurs. Pourtant, ils répondent à une demande, non ? Si on achetait moins cher, ils baisseraient leurs prix. C’est le serpent qui se mord la queue.

  128. J’ai l’impression qu’on oublie que ces marques sont souvent financées à crédit. Le coût réel, c’est les mensualités sur des années.

  129. J’ai revendu ma berline allemande il y a deux ans. Plus jamais ! Trop d’électronique, trop de pannes, et un SAV hors de prix. Le prestige, ça ne compense pas l’agacement.

  130. Finalement, cet article me fait penser que le « made in Germany » n’est plus une garantie de faire une bonne affaire. Peut-être qu’il est temps d’explorer d’autres horizons automobiles.

  131. Gabrielle Bernard

    J’ai toujours pensé que la vraie arnaque, c’est l’obsolescence programmée. On nous pousse à changer de voiture tous les 5 ans, et ça, ça coûte cher.

  132. Moi, ce qui m’inquiète, c’est la déconnexion entre le prix et l’usage réel qu’on fait de ces voitures. Est-ce qu’on a vraiment besoin de toute cette technologie pour aller chercher le pain ?

  133. Je me demande si la complexité croissante des voitures n’explique pas aussi cette flambée des prix. Plus de technologie, c’est plus de risque de panne et donc… plus cher !

  134. Je trouve ça ironique qu’on parle de « vraies marges » alors que la vraie question, c’est : est-ce que ces voitures nous rendent vraiment plus heureux ?

    Je me demande si cette obsession pour le « premium » ne nous aveugle pas sur des alternatives plus simples et tout aussi efficaces.

  135. C’est bien beau de parler des marges, mais je pense surtout à ceux qui rêvent de ces voitures et qui se retrouvent coincés. La frustration doit être énorme.

  136. Derrière l’envie de rouler en allemande, il y a aussi un certain statut social recherché, non ? On paie peut-être aussi pour ça, plus que pour la voiture elle-même.

  137. Franchement, j’ai l’impression que ces marques jouent sur la peur de paraître « pauvre ». On se sent obligé d’acheter cher pour exister.

  138. Plutôt que de regarder les marges, je me demande si la qualité perçue justifie encore ces prix. J’ai l’impression qu’on paie surtout la marque, pas forcément la fiabilité.

  139. Moi, je me demande surtout combien de ces acheteurs se rendent compte qu’une bonne partie du prix part en bonus écologique pour ceux qui achètent électrique.

  140. Je me demande si les constructeurs ne profitent pas du crédit facile pour gonfler artificiellement les prix. On s’endette sur 5 ans, on ne voit plus la réalité.

  141. C’est vrai que le prix pique, mais ça reste des produits désirables. Tant qu’il y aura des acheteurs, ils ne se gêneront pas.

    Finalement, ils vendent de la mobilité, mais surtout un bout de leur histoire.

  142. Catherine Bernard

    Je crois que le vrai problème, c’est la complexité des options. On part d’un prix de base « attractif » et on double la facture en cochant des cases. Le prix réel est rarement celui affiché au départ.

  143. L’article pointe du doigt les marges, mais on oublie souvent l’évolution des normes. Chaque nouvelle contrainte technique se répercute forcément sur le prix final.

  144. Je pense qu’on idéalise trop ces marques. On oublie qu’à la base, c’est juste un moyen de transport.

    Le vrai luxe serait peut-être de ne pas avoir besoin d’une voiture du tout.

  145. Moi, ce qui me gêne, c’est qu’on parle de « vraies marges » comme si c’était mal. Une entreprise est là pour faire du profit, non ? Après, est-ce que c’est moral, c’est une autre question.

  146. Franchement, j’ai l’impression que la passion automobile se transforme en pompe à fric. On en arrive à un point où rouler devient un luxe ostentatoire, plus qu’un plaisir.

  147. Je suis surtout frappé par l’écart entre le fantasme qu’on nous vend et la réalité de l’usage quotidien. Une voiture reste une voiture, même avec un logo prestigieux.

  148. Jacqueline Bernard

    C’est usant cette rengaine sur les marques allemandes. On dirait qu’on découvre l’eau chaude à chaque fois.

    J’ai l’impression que le problème, c’est plus notre propre rapport à la bagnole.

  149. Franchement, ça me fait penser aux soldes permanentes. On nous habitue à un prix gonflé pour qu’une « réduction » nous fasse croire à une affaire. C’est du marketing, non ?

  150. C’est vrai que les prix flambent. Mais au fond, est-ce qu’on a vraiment besoin de TOUTES ces options ? C’est peut-être là qu’on pourrait gratter…

  151. C’est pas tellement les marges qui me dérangent, c’est le sentiment d’être pris pour un pigeon si on ne connaît pas les « codes ».

  152. C’est simple, je n’achèterai plus neuf. Le marché de l’occasion récente est devenu tellement intéressant… Pourquoi se ruiner ?

  153. C’est fou comme on se focalise sur l’Allemagne. D’autres marques font la même chose, non ? On dirait qu’on pardonne plus facilement aux autres.

  154. À la limite, je préfère encore qu’ils assument clairement des prix élevés plutôt que ces jeux de dupes. Ça éviterait de perdre du temps.

  155. Je trouve ça paradoxal de critiquer les marges alors qu’on recherche la performance et la qualité qu’offrent ces marques. Faut choisir.

  156. Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact de ces prix sur la valeur de revente des voitures plus modestes. Est-ce que tout le marché n’est pas en train de se « premiumiser » artificiellement ?

  157. Moi, ce qui m’exaspère, c’est cette course à la voiture « premium ». On nous vend du rêve, mais à quel prix pour le consommateur lambda ? Le besoin réel est-il vraiment là ?

  158. Moi, j’ai l’impression qu’ils testent jusqu’où ils peuvent aller avant que ça craque. On verra bien qui craquera le premier, eux ou nos portefeuilles.

  159. Moi, je me demande si l’électrification à marche forcée n’est pas une excuse parfaite pour ces augmentations. On nous dit que c’est le prix de la « transition ».

  160. C’est marrant, j’ai l’impression que cette flambée touche surtout les modèles les plus optionnés. Une version de base est-elle vraiment plus chère qu’avant ?

  161. Je me demande si cette « astuce » est vraiment accessible au commun des mortels. On dirait qu’il faut déjà être un expert pour déjouer leurs combines.

  162. Je suis passé chez Audi récemment, et le vendeur m’a avoué à demi-mot que les remises sont plus compliquées qu’avant. C’est devenu tellement opaque.

  163. Sébastien Dubois

    Finalement, j’ai renoncé à l’Audi de mes rêves. Je me suis tourné vers une marque moins prestigieuse, mais avec un rapport qualité/prix plus honnête.

  164. J’ai toujours pensé que le plaisir d’acheter une belle voiture neuve s’évaporait dès la signature du chèque. Le stress financier prend le dessus.

  165. Je comprends l’article, mais je me demande si une partie du problème ne vient pas aussi de nous, les consommateurs, toujours à vouloir le dernier modèle avec toujours plus d’options.

  166. Je crois qu’on oublie souvent l’impact de la dévaluation de l’euro face au dollar. Ça joue forcément sur le prix des pièces importées.

  167. Christophe Dubois

    Je crois que le problème, c’est l’obsession du « premium ». On finit par payer une blinde pour un logo.

    C’est vrai que ça devient indécent. On dirait qu’ils nous prennent pour des pigeons.

  168. Moi, ce qui me dérange le plus, c’est le sentiment d’être pris pour un imbécile. L’impression que l’honnêteté a déserté les concessions.

  169. Moi, je me demande si le problème n’est pas aussi dans les crédits proposés. Trop facile de s’endetter. On ne voit plus le prix réel.

  170. À mon avis, l’électrification à marche forcée n’aide pas. On nous pousse vers des technologies chères qu’on n’a pas forcément demandées.

  171. Je pense que l’attrait de ces marques est tel qu’ils savent qu’une partie de la clientèle paiera, quoi qu’il arrive. L’image de marque a un prix, malheureusement.

  172. Franchement, ça me conforte dans l’idée de passer à l’électrique…mais d’occasion. Au moins, la décote a déjà fait son œuvre.

  173. Finalement, je me demande si ce n’est pas nous, les consommateurs, qui avons créé ce monstre en voulant toujours plus d’options et de personnalisation.

  174. Je me demande si les concessionnaires ne sont pas aussi victimes du système, coincés entre des objectifs de vente irréalistes et la pression des constructeurs.

  175. J’ai l’impression qu’on oublie souvent le plaisir de conduire dans ce débat sur les prix. C’est devenu un pur calcul financier, triste époque.

  176. Je ne suis pas surpris. J’ai acheté une de ces marques il y a 10 ans, et c’était déjà limite. Aujourd’hui, je regarde ailleurs, même si j’aimerais bien…

  177. Je trouve ça dingue qu’on parle de « vraies marges ». On dirait presque qu’on cautionne le principe de marges « fausses » avant. C’est ça le plus choquant, non ?

  178. J’ai l’impression qu’on est pris pour des pigeons. C’est frustrant de voir qu’on paie surtout pour l’étiquette.

    Le luxe, c’est devenu payer un prix exorbitant pour avoir l’impression d’être quelqu’un d’autre.

  179. Je me demande si, à force de viser le haut de gamme, ces marques ne sont pas en train de scier la branche sur laquelle elles sont assises.

  180. Moi, ce qui me dérange, c’est qu’on nous parle de « vraies marges » comme si c’était un scoop. C’est le capitalisme, non ? On maximise les profits, point.

  181. C’est lassant cette rengaine. On dirait qu’on découvre que les entreprises cherchent à faire du profit. Est-ce qu’on s’étonne que le boulanger vende ses croissants avec une marge ?

  182. Finalement, ça me rassure presque. Je ne suis pas le seul à trouver ces voitures inabordables. Ça banalise ma frustration de pas pouvoir me faire plaisir.

  183. C’est peut-être une stratégie pour devenir plus exclusif, moins courant sur les routes. Une forme de sélection naturelle automobile.

  184. J’ai l’impression que cette inflation pousse les gens comme moi, qui rêvaient d’une allemande, vers des options plus abordables, voire vers l’électrique. C’est peut-être ça, la vraie révolution.

  185. Moi, ce qui me frappe, c’est le décalage entre le discours écologique des marques et leur course au profit. On nous vend la vertu en nous vidant les poches.

  186. Et si cette hausse des prix était une aubaine pour le marché de l’occasion, finalement? On pourrait trouver de bonnes affaires sur des modèles plus anciens.

  187. Pour ma part, je crois que cette situation renforce le poids des loueurs longue durée. Ils absorbent une grosse partie de cette hausse et la diluent dans des mensualités, rendant l’accès moins brutal.

  188. Je me demande si la simplification à outrance des options n’est pas un facteur. On te force à prendre des packs, même si tu veux juste un détail.

  189. Je me demande si on ne surestime pas le pouvoir des constructeurs. Le consommateur a aussi son mot à dire, non ? Si les ventes baissent, ils devront bien revoir leur copie.

  190. Franchement, ça me dégoûte. J’ai économisé des années pour une BMW et maintenant je me demande si je vais pas finir avec une Dacia, à ce rythme. La passion a ses limites.

  191. Je trouve ça ironique qu’on se plaigne. On achète du rêve, pas du transport. Le jour où on arrêtera, ils baisseront les prix.

    Ces marques misent sur la rareté artificielle.

  192. Personnellement, je pense que le problème, c’est l’obsession du « toujours plus ». Plus de puissance, plus d’options inutiles, plus de gadgets… On se perd dans le superflu.

  193. Moi, j’ai l’impression qu’ils parient sur un marché à deux vitesses : ceux qui peuvent payer le prix fort et les autres. Tant pis pour la classe moyenne.

  194. Jacqueline Dubois

    Moi, ce qui me frappe, c’est le contraste avec le marché de l’occasion récent. Les gens se débarrassent de leurs voitures allemandes presque neuves, ça crée peut-être une alternative ?

  195. Moi, je me demande si l’électrification n’est pas une excuse parfaite pour justifier ces augmentations. On nous vend la « technologie » à prix d’or.

  196. En tant que garagiste, je vois surtout la complexité croissante de ces voitures. Plus de technologie, c’est aussi plus de pannes potentielles et des réparations hors de prix. Un cercle vicieux.

  197. Moi, je me demande si cette « astuce » est vraiment accessible au commun des mortels. Qui a le temps et l’expertise pour décortiquer tout ça ?

  198. Finalement, je me demande si on ne fantasme pas un peu trop ces marques. Est-ce que le plaisir de conduite justifie vraiment un tel sacrifice financier ?

    Le prestige, c’est bien, mais est-ce que ça rend vraiment service au quotidien ? J’ai des doutes.

  199. Je suis un peu las de ce discours sur les marges. On dirait qu’on découvre que les entreprises veulent faire du profit.

    Est-ce qu’on se pose autant de questions pour une baguette à 2€ ?

    Peut-être que le problème, c’est notre propre rapport à la consommation et au statut social.

  200. À force de courir après le logo, on oublie qu’une voiture sert avant tout à se déplacer. Le prix de cette « image » est devenu indécent.

  201. Je ne suis pas surpris. L’obsolescence programmée, c’est pas que pour les smartphones, non ? On nous pousse à changer plus vite, forcément.

  202. C’est dommage, j’aimais bien l’idée d’une allemande fiable et performante. Maintenant, je regarde les options japonaises, moins bling-bling, mais plus raisonnables.

  203. Je comprends l’article, mais je crois que l’engouement pour ces marques reste fort. Les constructeurs savent ça, et ils en profitent. C’est pas nouveau.

  204. Moi, ce qui m’agace, c’est qu’on nous prend pour des pigeons. On nous vend une « expérience » au lieu d’une voiture. J’ai l’impression d’acheter de la pub, pas du métal.

  205. Moi, ce qui me frappe, c’est le silence assourdissant des pouvoirs publics face à ça. On laisse faire, point. C’est ça, le plus choquant.

  206. Moi, ce qui me fait tiquer, c’est qu’on parle toujours du prix catalogue. Qui paie ça plein pot, franchement ? Y a toujours moyen de négocier, non ? Faut se bouger un peu !

  207. Perso, je me demande si cette flambée n’est pas aussi liée à la complexification des voitures. Plus d’électronique, plus de capteurs… ça a un coût.

  208. Sébastien Durand

    Je me demande si la pénurie de composants n’a pas servi de prétexte idéal pour ces augmentations. C’est facile d’accuser la crise.

    Je suis content d’avoir acheté la mienne il y a 6 ans.

  209. Franchement, ça me décourage. J’ai toujours rêvé d’une Audi, mais à ce rythme, je vais finir en Dacia. Le rêve allemand s’éloigne…

  210. C’est peut-être le moment de se tourner vers l’occasion récente. Moins valorisée, mais souvent très bien entretenue par des passionnés. On peut y trouver de bonnes affaires.

  211. Honnêtement, je trouve cette course à la marge un peu indécente quand on voit la qualité qui baisse sur certains modèles. On paie plus cher pour moins bien ?

  212. Je me demande si cette obsession pour les marges ne va pas finir par tuer ces marques. A force de viser le haut de gamme, elles oublient peut-être le plaisir de conduire « accessible ».

  213. Christophe Durand

    Je ne suis pas surpris, mais déçu. J’espérais que le passage à l’électrique calmerait un peu les ardeurs sur les modèles thermiques, mais visiblement, non.

  214. Je n’achète pas de voitures neuves, mais je comprends l’amertume. On nous vend du rêve avec des pubs léchées, et la réalité, c’est une facture salée.

  215. Moi, je trouve que les constructeurs prennent les clients pour des pigeons. On nous bourre le crâne de marketing écolo, mais les prix, eux, s’envolent.

  216. C’est marrant, moi, j’ai l’impression que le problème, c’est surtout le statut. On paie pas juste la voiture, on paie le logo.

  217. J’ai l’impression qu’on est pris en otage par une sorte de « luxe obligatoire ». On nous force à consommer du premium, même si on n’en a pas forcément besoin.

  218. Je me demande si une partie de l’augmentation n’est pas liée aux nouvelles normes de sécurité et aux équipements obligatoires. Ça a forcément un coût.

  219. Je me demande si l’attrait pour ces marques ne vient pas aussi de l’image qu’elles renvoient socialement. On achète un symbole plus qu’un moyen de transport.

  220. Je comprends l’article. Perso, j’ai basculé sur du seconde main récent importé d’Allemagne. Moins cher, souvent mieux équipé. C’est une piste.

  221. Franchement, je me demande si on ne se focalise pas trop sur ces marques. Il y a d’excellentes alternatives, moins tape-à-l’oeil, mais tout aussi fiables.

  222. Je me demande si l’électrification n’est pas aussi un gros facteur. Les batteries, ça chiffre vite, et ils le répercutent forcément.

  223. C’est pas nouveau, mais ça continue de me dégoûter du marché auto. On dirait qu’ils visent une clientèle de plus en plus restreinte.

  224. Moi, ce qui me frappe, c’est le décalage entre le rêve qu’on nous vend et la réalité du prix. On fantasme sur l’image, mais à la fin, c’est le porte-monnaie qui décide.

  225. Moi, ça me fait réfléchir sur la notion de besoin versus désir. Est-ce qu’on a vraiment besoin de ces voitures, ou est-ce qu’on cède à une envie ?

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