Voir ses feuilles de choux se transformer en véritables passoires est une frustration que connaissent de nombreux jardiniers. Ces petits trous, œuvres des altises, peuvent ruiner une récolte en quelques jours. Heureusement, une méthode simple et préventive, combinant protection physique et arrosage ciblé, permet de mettre fin à cette invasion avant même qu’elle ne commence, assurant des légumes sains et intacts.
Identifier l’ennemi caché dans votre potager
L’agacement de découvrir ses jeunes plants de choux criblés de trous est un sentiment universel pour les jardiniers. Cette dégradation rapide, souvent attribuée à tort aux limaces, est le signe d’une attaque d’altises. Une solution efficace existe pour protéger vos cultures de manière durable. C’est en adoptant une barrière physique dès la plantation que vous garantirez la survie de votre potager.
Voici le témoignage de Gérard Lefèvre, 62 ans, un retraité passionné de jardinage vivant près d’Angers. « Chaque année, c’était la même bataille perdue d’avance. Je pensais avoir tout tenté contre ces insectes, des remèdes de grand-mère aux produits du commerce. La solution était pourtant bien plus simple et respectueuse de mon jardin. »
Gérard utilisait des pulvérisations qui demandaient une application constante. C’est en observant un maraîcher sur un marché local qu’il a eu le déclic. Il a décidé de tester une nouvelle approche : un voile anti-insectes installé dès le repiquage. Les résultats ont été probants dès la première saison, avec des feuilles intactes.
La double action qui met les altises hors-jeu
La validation de cette technique repose sur un principe double. Le voile anti-insectes constitue une barrière physique infranchissable pour ces coléoptères sauteurs. De plus, un arrosage régulier au pied des choux maintient une humidité au sol que les altises détestent, les décourageant de s’installer. C’est la combinaison de ces deux gestes qui assure une protection quasi totale.
- Protection mécanique : le filet empêche l’accès direct aux feuilles.
- Environnement défavorable : l’humidité constante au sol repousse les insectes.
Les enjeux de cette méthode sont multiples. Sur le plan pratique, elle est bien moins chronophage que des traitements répétés. Économiquement, l’investissement dans un voile est rapidement rentabilisé par la sauvegarde des récoltes. Pour la santé, elle évite l’usage de tout produit de traitement, garantissant des légumes plus sains pour la consommation.
Optimiser la protection de vos crucifères
Pour renforcer l’efficacité du dispositif, quelques astuces complémentaires peuvent être mises en place. La rotation des cultures est primordiale pour ne pas laisser les ravageurs s’installer durablement au même endroit. L’association avec des plantes répulsives, comme la menthe ou le tagète, peut également créer une confusion olfactive et perturber les altises.
Action | Bénéfice principal | Fréquence |
---|---|---|
Pose du filet | Barrière physique totale | Une seule fois, à la plantation |
Arrosage au pied | Repousse les insectes aimant le sec | Régulièrement, pour garder le sol frais |
Plantes compagnes | Répulsif naturel olfactif | À planter à proximité |
Cette approche préventive s’inscrit dans une tendance plus large du jardinage moderne, qui privilégie l’observation et la compréhension des écosystèmes plutôt que l’intervention curative. En protégeant les cultures en amont, on favorise la biodiversité et on renforce la résilience globale du potager face aux divers aléas climatiques et parasitaires de 2025.
Vers un jardinage plus résilient et autonome
L’impact de telles pratiques dépasse le simple cadre du potager. Elles transforment les habitudes du jardinier, l’encourageant à devenir un gestionnaire de son petit écosystème. Cela réduit la dépendance aux produits manufacturés et promeut une forme d’autonomie et de savoir-faire durable, bénéfique à la fois pour l’environnement et pour la qualité de l’alimentation.
En définitive, la lutte contre les altises illustre parfaitement comment un changement de paradigme peut résoudre un problème récurrent. En misant sur la prévention et des gestes simples, il est possible d’obtenir des récoltes abondantes et saines. C’est une invitation à repenser nos interactions avec la nature, pour un jardinage plus serein et productif.
Ah, les altises… La hantise du jardinier ! J’ai l’impression de passer mon temps à les combattre. J’espère que « simple » est vraiment simple, parce que j’ai déjà tout essayé !
Des choux en dentelle, ça a un côté poétique… jusqu’à ce qu’on réalise qu’on ne mangera rien ! Je me demande si cette méthode « simple » est vraiment efficace pour tous les types de choux.
Moi, les altises, je les vois comme un signe. Un signe que mon sol n’est peut-être pas aussi équilibré que je le pensais. Peut-être que je devrais me concentrer sur ça, au lieu de juste les chasser.
Des choux gruyère, c’est ça l’avenir ? J’espère que l’article expliquera bien comment faire, parce que l’année dernière, j’ai tout perdu.
C’est fou comme un si petit insecte peut causer autant de dégâts. J’espère que cette méthode « simple » ne demande pas un investissement énorme en matériel.
L’annonce d’une méthode « simple » me rend toujours méfiant. J’attends de voir si ça marche vraiment sur le long terme, et sans produits chimiques.
J’ai toujours pensé que les altises étaient un peu comme la taxe : on râle, on subit, mais on finit par s’y faire. Si cette méthode « simple » peut réellement changer la donne, je suis preneur !
Les altises et moi, c’est une vieille histoire. J’ai presque envie de les inviter à dîner, tellement elles sont présentes. Peut-être que je devrais essayer de faire pousser autre chose que des choux, finalement.
J’ai un faible pour le chou-fleur, alors si je peux sauver mes futurs gratins, je suis tout ouïe. J’espère que cette « méthode simple » ne demande pas d’être un expert en jardinage.
Franchement, j’ai plus de succès en éloignant les limaces qu’en luttant contre les altises. C’est le cadet de mes soucis au potager.
J’ai l’impression que les altises adorent les choux plus que moi. C’est décourageant de voir son travail réduit à néant.
Les altises, c’est la rançon de la gloire du jardinier, non ? On dirait que c’est inévitable, comme les mauvaises herbes. J’attends de voir les détails de la méthode « simple » avant de me réjouir.
J’espère que cette méthode marche aussi pour le radis noir, c’est la même famille non ? Parce que là, c’est la catastrophe.
Moi, les altises, ça me rappelle surtout mon enfance et le potager de mon grand-père. Il disait toujours qu’elles faisaient partie du folklore.
Des choux gruyère ? Ça me rappelle mon premier potager… un échec total ! J’espère que cette méthode sera plus efficace que mes tentatives passées.
Des choux troués, c’est moche, mais c’est surtout qu’ils deviennent immangeables. J’espère que la méthode est moins contraignante que de devoir inspecter chaque feuille tous les jours.
Ah, les altises… Je me demande si elles ont une carte de France des potagers les plus appétissants ! On dirait qu’elles se passent le mot.
J’ai toujours pensé que quelques trous faisaient partie du charme rustique du potager. Tant qu’il en reste assez pour manger, ça me va.
Les altises, c’est la preuve que même au potager, on n’est jamais seul. Une petite guerre silencieuse pour chaque feuille.
Des choux en dentelle, c’est joli sur une nappe, moins dans mon assiette. J’espère que la méthode sera à la portée du jardinier du dimanche que je suis.
Altises, altises… J’ai essayé le purin d’ortie, un vrai calvaire à préparer pour un résultat bof. J’espère que cette méthode « simple » sera réellement efficace et moins odorante.
« Méthode simple », dites-vous ? Je demande à voir. J’ai déjà été déçu par ces promesses trop belles.
Je suis toujours partagé face à ces articles. Une part de moi veut y croire, l’autre se souvient de mes désillusions passées face à la nature. On verra bien.
Les altises, c’est le genre de problème qui te fait remettre en question ton envie de cultiver tes propres légumes. Si ça demande trop d’efforts, autant aller au marché.
Moi, j’aime bien quand les insectes grignotent un peu. Ça prouve qu’il n’y a pas trop de pesticides et que c’est un vrai jardin !
Les altises, c’est le stress du potager bio. On se demande toujours si on doit intervenir ou laisser faire la nature… Dilemme cornélien !
J’avoue, les altises, c’est la bête noire de mon potager. Plus que le mildiou ou les limaces, c’est leur rapidité à dévorer qui me décourage. J’attends de voir si cette méthode est réellement efficace, car j’ai déjà gaspillé pas mal d’eau à arroser sans succès.
Des altises, oui, mais le goût du chou du jardin, ça n’a pas de prix. Quelques trous ne me dérangent pas tant que ça. C’est le prix à payer pour éviter tous les produits chimiques.
Les altises et moi, c’est une longue histoire. J’ai fini par adopter la rotation des cultures, et ça aide pas mal. Moins de choux au même endroit chaque année, moins d’altises.
Des choux parfaits, c’est un idéal. Moi, je me contente de choux imparfaits mais cultivés avec amour et sans me prendre la tête. L’altise, c’est la vie !
Des choux troués, ça me rappelle les repas de famille chez ma grand-mère. Personne ne s’en plaignait, et ils avaient un goût incroyable. L’esthétique, vraiment, on s’en fiche un peu, non ?
Les altises, c’est surtout moche, non ? Ça donne l’impression d’un jardin négligé. J’aimerais bien avoir des choux dignes d’une photo, au moins une fois !
J’ai testé les voiles anti-insectes. C’est efficace… tant qu’on ne les enlève pas pour désherber ! L’altise, elle, n’attend que ça.
C’est marrant, j’ai toujours pensé que ces petits trous donnaient un côté « fait maison » aux choux. Un peu comme des cicatrices de bataille.
Arroser *plus* pour lutter contre les altises ? Ça me semble paradoxal, vu qu’elles aiment la chaleur et le sec… J’ai peur que ça favorise d’autres maladies.
Choux troués ou pas, l’important c’est d’avoir quelque chose à récolter. Je vais tenter cette méthode préventive, on verra bien.
Le voile, oui, mais il faut bien surveiller en dessous ! J’ai déjà eu des surprises.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact de ces traitements (même doux) sur les insectes pollinisateurs. Faut pas gagner une bataille pour en perdre une autre…
L’altise, c’est le stress de chaque année. Je me demande si le jeu en vaut la chandelle pour quelques choux. L’année prochaine, je sèmerai peut-être autre chose, tiens…
Le « fait maison » des choux troués, ça me parle! Finalement, ça témoigne qu’ils ont poussé dehors, au grand air, non ?
Moi, je me demande si les altises ne sont pas finalement un mal pour un bien. Elles affaiblissent peut-être la plante, mais ça renforce aussi son goût, non ? Un peu comme le gibier.
Des choux parfaits, c’est un idéal. Moi, tant qu’ils nourrissent ma famille, quelques trous ne me dérangent pas. La perfection est rarement naturelle.
Franchement, je préfère acheter mes choux au marché. Moins de soucis, plus de temps pour profiter du jardin !
Les altises, c’est le cadet de mes soucis. C’est surtout les limaces qui me donnent du fil à retordre avec mes choux. Elles sont bien plus voraces!
Moi, les altises, c’est devenu un baromètre de mon jardin. Si elles attaquent, c’est que j’ai négligé quelque chose dans l’équilibre global. Ça me pousse à observer, à comprendre.
J’ai toujours pensé que les altises étaient un signe : la nature me disait que mes choux étaient trop faibles. C’est plutôt ça que j’essaie de corriger, au lieu de juste les « éradiquer ».
Moi, je me demande si on ne complique pas trop les choses. Ma grand-mère disait juste : « Chou qui pousse, chou qui vit ! »
Je suis curieux de voir cette méthode simple. J’ai essayé tellement de choses, souvent sans succès. Un truc qui marche vraiment, je suis preneur !
J’espère que cette méthode ne demande pas trop de matériel. J’ai déjà l’impression de vivre dans une quincaillerie avec tout ce que j’ai accumulé pour le jardin !
Des « légumes sains et intacts »… On dirait une pub pour supermarché, pas un article de jardinage ! Un peu de biodiversité, ça ne fait de mal à personne, non ?
Le titre sonne comme une menace… Moi, j’aime bien l’idée que le jardin soit un écosystème, pas un champ de bataille contre des « ennemis ».
Les altises, c’est vrai que c’est pénible. Mais je me dis que si elles sont là, c’est qu’elles ont aussi leur rôle dans le jardin, non ? Je préfère une petite perte à un traitement chimique.
Des choux sans trous, c’est joli, mais est-ce que ça vaut vraiment tout ce mal ? Un ou deux trous, ça ne change pas le goût, non ? Je préfère largement manger un chou bio, même un peu grignoté.
J’ai toujours pensé que le timing était crucial avec les choux. Planter au bon moment, ça les rend moins vulnérables, non ?
Les altises, c’est la vie ! Plus sérieusement, je me demande si l’article aborde la question du compagnonnage, certaines plantes éloignent ces petites bêtes.
J’espère que l’article parle aussi des choux de Bruxelles ! C’est eux qui trinquent le plus dans mon potager, et j’avoue que je finis par les délaisser, faute de solution simple.
Le coup du « avant même que ça ne commence », ça me rappelle trop les pubs pour l’assurance. On dirait qu’on doit vivre dans la peur de l’altise !
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’équilibre. Si on élimine les altises, qu’est-ce qui va les remplacer ? On ne règle pas un problème en créant un autre.
Moi, les altises, ça me rappelle mon enfance. Ma grand-mère disait toujours : « C’est le jardin qui vit, mon petit ! ». Quelques trous, ça ne m’a jamais empêché de faire une bonne potée.
Moi, les altises… C’est surtout que ça me décourage. Je commence plein d’enthousiasme, et puis ces trous me rappellent que je suis un jardinier du dimanche.
Moi, l’altise, ça me fait penser aux poux à l’école. On se sent tellement impuissant face à ces petites bestioles. J’espère que l’article donne des solutions qui ne demandent pas d’être un expert en jardinage.
Moi, les altises, ça me rend dingue ! J’ai l’impression que c’est toujours la guerre, et que je suis en sous-effectifs.
Moi, les altises, je les vois comme un signe. Un signe que j’ai peut-être trop forcé la nature à produire, au lieu de l’accompagner. Je vais essayer de moins m’acharner cette année.
Altises… Je me demande si l’article va parler de solutions bio. J’ai tellement peur des produits chimiques dans mon jardin.
Des choux en dentelle, c’est joli sur une nappe, moins dans l’assiette. J’espère que la méthode est vraiment « simple », parce que mon temps, lui, ne l’est pas.
Je suis curieux de voir si la méthode est durable. Les altises reviennent toujours à la charge, chez moi. Un truc qui marche une saison, c’est pas suffisant.
Des choux, c’est bien. Mais est-ce que cette méthode marche aussi sur les radis ? C’est eux que les altises préfèrent dans mon potager.
Je suis curieux de connaître le détail de la protection physique. Est-ce qu’on parle de voile, de cloche, de grillage…? C’est ça qui va déterminer si je tente le coup ou pas.
Moi, les altises, je les vois comme un test. Si mes choux survivent malgré tout, c’est qu’ils sont vraiment costauds. La nature fait son tri, en quelque sorte.
J’ai arrêté de me battre contre les altises. Je plante des capucines à côté de mes choux. Elles adorent ça, et mes choux sont tranquilles. Simple et joli !
Les altises, c’est la galère. Mais bon, tant que j’ai quelques choux pour la soupe, je relativise. L’important, c’est de manger à sa faim, pas d’avoir des légumes parfaits.
Franchement, les altises, c’est le cadet de mes soucis. J’ai plus de mal avec les limaces, elles me bouffent tout!
J’ai toujours pensé que ces petits trous donnaient un côté « rustique » à mes choux. Finalement, c’est peut-être juste de la négligence… Je me demande si le goût est affecté.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact sur les autres insectes. Si on s’acharne sur les altises, est-ce qu’on ne dérègle pas tout l’écosystème du jardin ?
J’avoue que les choux, c’est pas ma priorité au potager. Je préfère largement les tomates et les courgettes. Si les altises s’en prennent aux choux, tant pis.
Moi, ce qui me décourage, c’est le temps que ça prend. Entre le boulot et la famille, je n’ai pas toujours l’énergie de me battre pour des choux impeccables.
J’ai toujours cru que ces satanés trous venaient des escargots ! Va falloir que je regarde de plus près, tiens. Merci pour l’info !
J’espère que cette méthode est efficace et peu coûteuse. J’en ai marre de dépenser une fortune au potager pour des résultats mitigés.
Des choux « gruyère », ça me rappelle les dessins animés de mon enfance ! Mais c’est vrai que c’est moins drôle quand c’est dans son jardin. J’espère que la méthode préventive est vraiment simple, car je n’ai pas la main verte.
Ah, les altises… Ça me rappelle les batailles perdues d’avance de mon grand-père. Lui, il disait que le jardin, c’était comme la vie: on ne contrôle pas tout.
Choux troués ou pas, ils finissent toujours en potée chez moi. L’aspect, c’est secondaire, c’est le goût qui compte !
Les altises, c’est la preuve que même au potager, on est jamais vraiment tranquille ! J’espère que l’article détaille bien la « protection physique », parce que les recettes miracles, j’y crois plus trop.
Des choux « parfaits » ? Je n’y crois pas trop. Tant qu’ils sont bons, quelques trous ne me dérangent pas vraiment. Un peu de « bio-imperfection », en somme.
Des choux sans trous, oui, mais à quel prix ? Je préfère un légume un peu imparfait mais cultivé de manière respectueuse de l’environnement.
Les altises sur les choux, c’est l’annonce de l’automne, non ? Un peu comme les feuilles qui tombent… ça fait partie du cycle.
Moi, les altises, ça me fait penser à ma grand-mère qui disait qu’il fallait « partager » avec la nature. Perdre quelques feuilles, c’est le prix à payer pour manger local.
Altises, choux… J’ai déjà essayé le voile anti-insectes. Une galère à poser et à enlever, et ça n’a pas toujours marché. J’espère que cette méthode est moins contraignante.
Moi, les choux, c’est surtout le goût que ça a après avoir cuit une heure ! Si quelques altises ont goûté avant, tant pis, du moment que ça sent bon dans la cuisine.
Les altises, c’est la hantise de mon potager. J’ai essayé tellement de choses… J’espère que cette méthode est vraiment efficace et pas juste une astuce de plus qui ne marche qu’à moitié.
J’ai toujours pensé que ces petits trous donnaient un côté « authentique » aux légumes. Ça prouve qu’ils ont vécu, non ? Et puis, franchement, ça ne change rien au goût !
Voir mes choux criblés, ça me rappelle les pulls que ma grand-mère tricotait avec des mailles qui sautaient. C’était pas joli, mais ça tenait chaud quand même ! J’imagine que c’est pareil pour les choux.
Moi, les choux, ça me rappelle surtout les batailles rangées au repas de famille. Si les altises pouvaient les rendre moins amers, je serais presque reconnaissant !
Choux, altises… ça me rappelle surtout le temps passé à jardiner avec mon père. Plus qu’une récolte parfaite, c’était surtout le plaisir d’être ensemble.
Des choux grignotés, ça me rappelle mes débuts au potager. J’étais tellement fier, et puis… la désillusion. J’espère que cet article donnera de vrais résultats, parce que les promesses, on en a plein les oreilles.
Des choux troués, ça me fait penser aux souvenirs que j’oublie peu à peu. Pas graves les altises, l’important c’est de se souvenir des bonnes choses.
Des choux, des trous… Ça me fait penser à la fragilité de tout, même de ce qu’on cultive avec amour. Espérons que cette méthode marche, parce que l’effort, lui, est bien réel.
Des choux et des altises, c’est un combat de tous les ans. Je me demande si la « méthode simple » est vraiment si simple que ça… J’attends de voir les détails pour me faire un avis.
Des choux attaqués ? Bof. Tant qu’il en reste assez pour la potée, ça me va. La perfection au potager, c’est surfait.
Les altises, c’est pas le plus grave. Ce qui m’inquiète plus, c’est le mildiou. Une année, j’ai tout perdu. Des choux, des tomates, tout y est passé.
Des altises, oui, je connais. Perso, je mange les feuilles abîmées. Ça ajoute un petit côté poivré, vous ne trouvez pas ?
Altises, encore elles… J’espère juste que la solution proposée ne demande pas un doctorat en entomologie ! J’ai envie de jardiner, pas de devenir chercheur.
Les altises, un truc de citadin devenu jardinier du dimanche, non ? Ma grand-mère, elle disait juste : « Faut les laisser vivre, les bestioles. C’est la nature. »
Moi, les altises, ça me rappelle surtout que le jardinage, c’est une sacrée leçon d’humilité. On contrôle rien, en fait.
Les altises, c’est le genre de truc qui te fait douter de tes talents de jardinier. On se dit qu’on a tout fait bien, et paf, les trous apparaissent.
Des altises, oui, une plaie ! J’espère que cette méthode marche vraiment, parce que les traitements chimiques, c’est hors de question chez moi.
Ah, les altises et leurs petits trous… Moi, j’ai surtout l’impression qu’elles arrivent toujours quand on a le dos tourné, en vacances par exemple. Retour de congés = désastre !
Altises, ou comment transformer un jardin en gruyère. J’espère que cette méthode est plus efficace que les décoctions de purin d’ortie que j’ai testées l’an dernier.
J’ai toujours pensé que quelques trous de rien du tout, ça faisait partie du charme du jardin. Si on veut des légumes parfaits, autant aller au supermarché, non ?
Franchement, l’idée d’une méthode simple me plaît. J’ai pas envie de passer ma vie à pulvériser des trucs bizarres sur mes légumes. On verra si ça marche, mais ça vaut le coup d’essayer.
Choux troués, altises… une autre année qui commence avec les mêmes galères. J’espère juste que cette « méthode simple » ne va pas se révéler être un énième gadget inutile.
Mouais, « méthode simple »… J’attends de voir le détail. Souvent, « simple » veut dire chronophage ou nécessitant un matériel spécifique hors de prix.
Les choux, c’est tellement bon quand c’est réussi… mais les altises, c’est décourageant. J’espère que l’article explique comment faire sans y passer des heures.
J’ai un faible pour les feuilles un peu irrégulières. Ça prouve que c’est du vrai chou de jardin, non ?
Finalement, c’est peut-être le prix à payer pour manger des légumes de saison. Quelques trous, c’est pas si grave, tant qu’il en reste assez pour la salade.
J’ai l’impression qu’on diabolise un peu trop les altises. Bien sûr, elles font des dégâts, mais un jardin, c’est vivant. Je préfère accepter quelques imperfections plutôt que de me battre sans cesse.
Les altises, c’est comme les impôts : on sait qu’elles vont arriver, mais on espère toujours que ça se passera mieux cette année. J’espère que la méthode est vraiment simple, parce que j’ai plus envie de profiter de mon jardin qu’y passer mes journées.
Je me demande si ça marche aussi sur les radis. C’est toujours la même histoire, les feuilles sont bonnes pour la poubelle avant même que la racine ait grossi.
J’ai toujours cru que les altises aimaient particulièrement le temps sec. Peut-être qu’un arrosage régulier suffirait déjà à limiter les dégâts, sans forcément tout bâcher.
J’ai toujours eu plus de chance avec les choux d’automne qu’avec ceux du printemps. Peut-être que les altises sont moins actives quand il fait plus frais.
J’ai toujours pensé que la monoculture favorisait ce genre d’attaques. Diversifier les plantations, c’est peut-être une solution plus durable, non ?
Les altises, c’est la roulette russe au potager. Parfois elles te laissent tranquille, parfois c’est la catastrophe. Je croise les doigts chaque année !
Moi, les altises, ça me rappelle surtout les étés chez ma grand-mère. Elle pestait, mais ses choux étaient toujours délicieux. Ça fait partie du charme, non ?
Bâcher, ça prend une place folle. J’ai un petit jardin, je vais peut-être tenter des pulvérisations de purin d’ortie, ça semble plus gérable.
Ou alors, tant pis pour les choux parfaits, je repl…
Bof, encore un article alarmiste. Mes choux ont des trous, oui, et alors ? J’en mange quand même, et ils sont bons. On dirait qu’il faut un légume parfait pour être heureux, quelle tristesse !
Moi, j’ai juste l’impression qu’on complique toujours plus le jardinage. Avant, on plantait, ça poussait (plus ou moins), et on mangeait. On dirait que maintenant, il faut être ingénieur agronome pour avoir une tomate.
J’ai surtout l’impression que les jardiniers d’aujourd’hui ont oublié l’art d’observer. La nature, elle, nous parle. Apprenons à l’écouter avant de paniquer pour quelques trous.
Je crois que je vais tenter le coup de l’arrosage. Bâcher, c’est vraiment pas esthétique dans mon petit jardin, et puis j’aime bien voir mes légumes grandir au soleil. On verra bien !
Je me demande si la variété du chou joue un rôle. J’ai l’impression que certaines sont plus appétissantes pour ces petites bêtes que d’autres.
C’est marrant, moi j’ai l’impression qu’elles adorent les jeunes plants, puis les laissent tranquilles une fois le chou bien démarré.
Ces satanées altises! J’ai l’impression qu’elles se moquent de mes efforts. Je vais peut-être me résoudre à planter des capucines près de mes choux, on m’a dit qu’elles les détournaient.
L’idée de l’arrosage ciblé me plaît, ça évite les produits chimiques. Mais bon, entre le boulot et les enfants, je me demande si j’aurai le temps de jouer au gendarme avec les altises.
Franchement, les altises, c’est un peu comme les impôts : on sait qu’elles arrivent. Je me demande si l’investissement en temps et en énergie vaut vraiment le coup pour quelques feuilles grignotées.
Mouais, des choux troués, ça fait un peu « bio imparfait » non ? Finalement, ça me rassure presque sur l’origine de ce que je mange.
Moi, ce qui me dérange, c’est le gaspillage. Si tous ces choux finissent à la poubelle à cause de quelques trous, c’est ça le vrai problème.
Les altises et moi, c’est une vieille histoire. Je crois que je vais juste laisser faire cette année. Un peu de rustique, ça ne fait pas de mal.
Moi, je me demande surtout si les altises ne sont pas juste un signe de déséquilibre. Peut-être que mon sol a besoin d’un petit coup de pouce, plutôt que d’acharnement sur les bestioles.
Les altises ? Une plaie, certes, mais ça me rappelle que je jardine, pas que je travaille à l’usine. On ne peut pas tout contrôler, tant pis pour les quelques trous.
Les altises, c’est vrai que c’est pénible. Mais au fond, ça me force à ralentir et à observer mes choux de plus près. Une bonne excuse pour flâner au jardin, finalement.
Les altises, ça me stresse plus pour mes jeunes plants que pour les choux adultes. J’ai toujours peur qu’ils ne survivent pas au début.
L’article est un peu alarmiste, non ? Des choux avec des trous, ça reste des choux. Tant qu’il y en a assez pour la soupe…
J’espère que la méthode simple mentionnée est vraiment simple. J’ai déjà tellement de tâches au jardin, si ça rajoute encore du boulot…
Des choux parfaits, c’est joli sur les photos, mais ça ne me dit rien. Un peu d’imperfection, c’est la vie, non ?
Moi, je me demande si l’article parle de la même méthode « simple » que celle que j’ai déjà essayée… Souvent, « simple » dans les articles, ça veut dire « chronophage » dans mon jardin.
J’espère que « arrosage ciblé » veut pas dire un produit chimique. J’essaie d’éviter ça au maximum dans mon potager.
Des choux troués, ça me rappelle les étés de mon enfance chez ma grand-mère. Ça avait toujours du goût, même avec les altises.
C’est marrant, moi les altises, ça me fait penser à une dentelle délicate sur mes choux. Si elles n’envahissent pas tout, je laisse faire la nature.
Altises… j’ai essayé le purin d’ortie. Ça les a juste rendues plus brillantes, dirait-on. Je crois que je vais me résigner à partager la récolte.
« Méthode simple », ça sent le piège à clics. J’attends de voir ce qu’ils appellent « ciblé » comme arrosage. J’ai déjà passé des heures à chasser des limaces, je n’ai plus envie de courir après les altises.
Je me demande si ces altises ne sont pas un peu la rançon de la gloire quand on cultive bio. C’est le prix à payer pour des légumes sans pesticides, non ?
Moi, j’avoue, j’ai surtout peur pour mes radis. Les altises, c’est une plaie pour eux ! J’espère que la méthode marche aussi pour ça, sinon, adieu la croque au sel.
Les altises, c’est la bête noire de mon potager. J’espère juste que cette méthode ne demande pas d’investir dans un nouveau matériel coûteux. Je croise les doigts pour une solution abordable !
Le titre est alarmiste, non ? J’ai l’impression qu’on me force à paniquer pour des trous qui, au fond, n’ont jamais empêché mes choux de pousser.
Moi, les choux, c’est un peu comme les enfants : imparfaits mais aimés. Quelques trous ne me font pas peur, tant qu’il y a de quoi faire une bonne soupe.
J’espère juste que ça ne va pas rendre mes choux malades en essayant de les protéger. Parfois, trop vouloir bien faire…
Les altises, c’est un peu comme les impôts : on sait qu’elles vont arriver, mais on espère toujours les éviter. Pourvu que cette année, mes choux soient épargnés!
Des choux grignotés, ça a un certain charme rustique, non ? Tant qu’il en reste assez pour la potée, ça me va. L’important, c’est le goût !
Je me demande si cette « méthode simple » va vraiment marcher. J’ai déjà tout essayé, du savon noir aux huiles essentielles. J’ai l’impression qu’elles rigolent, les altises.
Les choux, c’est le souvenir du jardin de ma grand-mère. Si quelques altises lui rappellent sa présence, ça me va.
J’ai surtout l’impression de me battre contre le potager entier, pas juste les altises. Un coup les limaces, un coup le mildiou… Je commence à me demander si ça vaut le coup de s’acharner.
Des choux « parfaits », c’est joli, mais c’est surtout du boulot en plus. L’an dernier, j’ai ignoré les altises et on a quand même fait de la choucroute.
C’est marrant, moi je trouve que ces petits trous donnent un côté « fait maison » aux choux. Ça change des légumes calibrés du supermarché.
Je suis curieux de connaître cette méthode, mais j’ai peur que ce soit encore une de ces solutions « miracles » qui demandent plus de temps qu’elles n’en font gagner.
C’est vrai que c’est rageant ces trous. Moi, je préfère partager ma récolte avec les altises plutôt que de mettre des produits chimiques. Le jardin, c’est aussi ça, non ?
Moi, ce qui m’inquiète, c’est l’impact de ces « méthodes simples » sur la biodiversité du jardin. On chasse les altises, mais à quel prix pour les autres insectes ?
Je suis curieux de voir si cette méthode marche pour les choux de Bruxelles. C’est toujours ceux-là qui trinquent chez moi, plus que les autres variétés.
J’espère que cette méthode est moins compliquée que de faire pousser les choux eux-mêmes ! J’ai plus de succès avec les tomates, c’est dire…
J’espère que la méthode impliquera de faire venir des poules. Elles adorent les altises, paraît-il. Et puis, ça fait des œufs frais !
Altises, parlons-en ! Moi, j’ai fini par accepter que le chou, c’est un peu leur maison aussi. Tant qu’on en a assez pour nous…
Les altises… ça me rappelle ma grand-mère. Elle disait toujours qu’un peu de souffrance rendait le chou meilleur. C’est peut-être pas vrai, mais c’est joli.
J’espère surtout que cette méthode est respectueuse des abeilles. Mon jardin est un sanctuaire pour elles, les choux, c’est secondaire.
Des choux troués ? Ça me rappelle surtout les repas de cantine de mon enfance… J’espère que cette méthode permettra d’éviter ça, au moins dans mon assiette !
Des choux en dentelle, l’enfer ! J’ai essayé le voile anti-insectes une année, mais c’était galère à installer et ça n’a pas empêché les bêtes de passer.
Le chou, c’est pas vraiment ma tasse de thé, mais ma femme adore la choucroute. Si cette méthode évite d’acheter du chou plein de pesticides, ça vaut le coup d’y jeter un œil.
Les altises et moi, c’est une longue histoire de compromis. Je préfère quelques trous à un traitement chimique lourd. L’équilibre, c’est le maître mot au jardin.
Arroser les choux plus souvent ? Ça me semble tout bête, mais si ça marche, je signe tout de suite ! J’ai toujours pensé que c’était une question de produit miracle…
Le titre est prometteur, mais j’attends de voir la méthode. « Simple et préventive », ça reste à prouver dans mon potager !
Je suis curieux de voir si cette méthode « simple » résout le problème. J’ai déjà essayé tellement de solutions, sans succès, que je suis un peu blasé. On verra bien.
Les altises, c’est le genre de problème qui te fait remettre en question ton amour du jardinage. J’espère que cette méthode est moins compliquée que de convaincre mes enfants de manger des brocolis.
Voir mes choux attaqués, ça me déprime. J’espère vraiment que cette méthode est efficace et pas trop chronophage. J’ai déjà peu de temps à consacrer au jardin.
Moi, c’est plus la tête de mes choux qui m’inquiète que les feuilles. Si la méthode me promet de belles têtes bien denses, je suis preneur. La choucroute, ça se fait pas avec des feuilles trouée…
J’ai toujours pensé que les altises étaient un mal nécessaire, une sorte de taxe à payer pour avoir des légumes du jardin. Si cette méthode change la donne sans trop d’efforts, je suis preneur.
J’espère que la méthode est adaptée au climat de ma région. Ici, en Bretagne, l’humidité, c’est pas ce qui manque ! J’ai peur que ça favorise d’autres maladies.
Les choux, c’est le légume que je plante toujours en me disant « cette année, je vais gagner ». Je crois que je vais tester, même si je me fais peu d’illusions.
Des choux sans trous, c’est un rêve ! J’espère que cette méthode ne coûte pas un bras en matériel. Si c’est le cas, je préfère encore partager ma récolte avec les altises.
Des choux troués, c’est moche, certes. Mais est-ce que ça vaut vraiment le coup de se prendre la tête pour quelques feuilles ? Le goût est le même, non ?
J’espère que ça marche aussi pour le kale, parce que le mien ressemble à de la dentelle. Si ça peut éviter les traitements chimiques, je suis partante.
Les altises, c’est la vie ! Franchement, tant qu’il reste assez de chou pour faire une bonne potée, je ne me stresse pas trop. Un peu de rustique, ça a son charme.
Je me demande si cette méthode est vraiment durable. On parle de protection physique et d’arrosage, mais à long terme, est-ce que ça ne risque pas de créer un déséquilibre dans mon jardin ?
J’ai toujours cru que les altises aimaient le sec. L’arrosage ciblé, ça me surprend, mais si ça marche, pourquoi pas !
J’ai surtout peur d’attirer d’autres parasites en arrosant plus. C’est souvent le serpent qui se mord la queue au jardin.
Moi, ce qui me dérange, c’est la perspective. On dirait qu’un chou troué, c’est une catastrophe. Mais bon, c’est un légume, pas une œuvre d’art. L’important, c’est qu’il nourrisse, non ?
Moi, les altises, ça me rappelle surtout mon enfance. Ma grand-mère disait qu’un peu de « bêtes » dans le jardin, c’était signe de bonne terre. Alors, je relativise !
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout le temps. Entre le travail et la maison, je suis déjà débordé. Si en plus, il faut surveiller les choux tous les jours.
Moi, je me demande si cette méthode marche aussi en pot sur un balcon. L’année dernière, j’ai abandonné l’idée des choux à cause de ces satanées bêtes.
Moi, ça me rappelle surtout que jardiner, c’est accepter l’imperfection. Les altises font partie du jeu, non ? On ne va pas se battre contre la nature entière.
C’est marrant, on dirait que les altises sont un passage obligé du jardinage ! Pour moi, ça veut surtout dire qu’il est temps de préparer la soupe… et de planter autre chose à côté !
L’idée de la protection physique me parle bien, mais j’ai toujours peur que ça étouffe mes choux. Il faut vraiment que ce soit bien aéré.
Les altises, c’est la rançon de la gloire du jardinier ! Plus qu’une catastrophe, je vois ça comme un défi à relever, une petite bataille à gagner.
Franchement, j’ai l’impression qu’on diabolise un peu trop ces petites bêtes. Un chou avec quelques trous, ça reste un chou. Je me demande si ça vaut vraiment le coup de s’acharner.
J’ai essayé plein de trucs, mais rien n’y fait, elles reviennent toujours ! Peut-être que je devrais me résoudre à manger du chou… plus tôt.
Le coup de l’arrosage ciblé, ça me fait penser aux moustiques. J’ai toujours peur d’aggraver le problème en créant un environnement plus favorable.
Mouais… « légumes sains et intacts », ça me fait un peu sourire. Je crois que je préfère un chou un peu troué mais cultivé sans trop d’artifices. Le goût est là, non ?
Je me demande si c’est pas lié à la variété de chou. J’ai l’impression que certaines y sont plus sensibles que d’autres, non? Ça pourrait être une piste à explorer.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est surtout l’impact sur les jeunes plants. Si ça les attaque dès le début, ça compromet la croissance, non? C’est peut-être là qu’il faut agir vite.
Moi, j’ai l’impression que la terre est fatiguée. Peut-être qu’il faudrait penser à enrichir le sol plutôt que de se focaliser sur les bestioles.
Je me demande si le problème ne vient pas de la proximité d’autres plantes. Peut-être qu’en variant les cultures, on perturberait ces petites bêtes ?
J’ai toujours pensé que les altises étaient un signe : il est temps de cuisiner le chou ! Plus sérieusement, je préfère ça aux produits chimiques, même si c’est un peu moche.
Je me demande si l’odeur forte de certaines plantes compagnes ne pourrait pas les repousser naturellement. A tester !
Ces « méthodes simples » me font toujours rire. Simple, ça veut souvent dire chronophage et contraignant. J’ai pas le temps de courir après chaque altise !
Franchement, ça me rappelle ma grand-mère qui disait que les légumes du jardin ont plus de goût, même avec des imperfections. L’important, c’est de partager la récolte avec les altises !
Choux troués ou pas, je pense que le jardinage c’est surtout accepter que la nature reprenne toujours un peu ses droits. L’obsession de la perfection me semble vaine.
J’ai l’impression que c’est un cycle sans fin, non ? Une année les altises, l’année suivante les pucerons… On se bat toujours contre quelque chose au jardin.
C’est fou comme on diabolise ces petites bêtes. Finalement, quelques trous, ça prouve que c’est du vrai chou, non traité !
J’ai toujours pensé que les altises préféraient certains types de choux à d’autres. Mes brocolis semblent toujours plus touchés que mes choux-fleurs. Une question de goût, peut-être ?
Moi, je dis, on en fait tout un plat ! Des trous, oui, mais du chou quand même. On dirait qu’on a oublié ce que c’est, un légume vrai.
Moi, ce qui m’embête, c’est plus l’idée de perdre du temps à protéger mes choux que les quelques trous. Le jardin, c’est un plaisir, pas une corvée.
J’ai l’impression que cet article arrive à point nommé. J’ai remarqué ces trous récemment et je me demandais ce que c’était. Au moins, maintenant je sais.
C’est vrai que c’est frustrant, mais bon, la nature est comme ça. Je préfère ça à des choux gavés de pesticides, honnêtement.
Je me demande si ces fameuses « méthodes simples » sont vraiment efficaces sur le long terme. J’ai essayé tellement de trucs, parfois ça marche, parfois pas. On verra bien…
J’ai toujours pensé que le paillage jouait un rôle dans la présence (ou l’absence) d’altises. Est-ce que l’article en parle?
Je suis curieux de connaître le détail de cette méthode « simple ». J’ai souvent l’impression que ce qui est simple pour certains est une montagne pour d’autres…
J’espère juste que cette « méthode simple » ne demande pas d’acheter un tas de matériel spécifique. Mon budget jardin est déjà bien entamé…
Des choux troués, oui, mais au moins on sait qu’ils n’ont pas vu un seul pesticide. Ça me rassure plus que ça ne m’inquiète.
Des choux troués, c’est moche, mais ça nourrit quand même. Tant qu’il en reste assez pour faire une bonne potée, ça me va. Le jardin, c’est pas l’esthétique avant tout, c’est la bouffe.
Altises, altises… encore un truc à gérer ! J’espère que les choux valent vraiment la peine de tous ces efforts.
Les altises, c’est la rançon du jardinage bio, non ? On partage notre récolte, c’est tout.
Moi, les altises, ça me rappelle surtout ma grand-mère qui râlait après. On finissait par manger du chou quand même ! C’était moins joli, mais ça avait le goût de l’enfance.
Les altises, c’est l’annonce du retour du chou-fleur à la crème de ma mère. C’est pas forcément une bonne nouvelle, finalement.
Des choux avec des trous ? Ça me rappelle que je devrais peut-être arrêter de les acheter au supermarché et me lancer enfin dans mon propre potager.
Des choux et des trous, ça me fait penser à ma première tentative de potager. J’étais tellement fier… jusqu’à l’invasion ! L’échec total. Peut-être que cette fois, je devrais retenter le coup.
Les altises, c’est le genre de problème qui me décourage d’avance. J’ai déjà tellement de mal à gérer les limaces… Encore un truc qui me rappelle que j’ai pas la main verte, c’est sûr.
J’espère que l’article détaille bien la méthode. J’ai déjà essayé des tas d’astuces « simples » qui se sont avérées bien compliquées en pratique.
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le temps. Est-ce que cette fameuse méthode prend beaucoup de temps à mettre en œuvre ? Entre le boulot et les enfants, j’ai déjà du mal à désherber…
Des choux troués, ça me fait penser aux papillons blancs. Si les altises font ça, c’est peut-être que j’ai zappé un truc en amont avec ces bestioles-là.
Altises, beurk ! J’espère que cette « méthode simple » est vraiment simple, parce que mes choux, je les aime entiers.
Protection physique et arrosage, ça me semble un peu léger comme parade. J’espère que la méthode est efficace, parce que les altises, c’est vraiment la plaie.
Les altises, c’est surtout le bruit que ça fait quand on les dérange! Un petit crépitement, signe qu’il est déjà trop tard…
Les altises, c’est la rançon de la gloire du jardinier, non ? Un peu de patience et de prévention, et on finit toujours par gagner la bataille.
Les altises, c’est vrai que c’est moche… Mais finalement, quelques trous, ça donne un côté authentique à mes choux, non ? Ça prouve qu’ils ont vécu une vie de légumes, quoi !
Des choux gruyère, ça me rappelle les repas de cantine ! Si ça marche, tant mieux, mais j’ai l’impression de toujours me battre contre des moulins à vent au potager.
Moi, les altises, ça me rappelle mon enfance à la campagne. Ma grand-mère disait qu’un peu de nature sauvage, c’est bon pour le moral, même dans l’assiette. Tant que le goût y est !
J’ai l’impression qu’on diabolise toujours ces petites bêtes. Un peu de biodiversité, c’est pas un mal, non ? On dirait qu’un légume doit être parfait pour être bon.
Moi, je me demande surtout si cette méthode « simple » est bio. J’ai arrêté les pesticides, alors si c’est pour mettre autre chose de cracra, bof…
Des choux avec des trous, ça me dérange moins que de savoir que j’ai mis un produit chimique dessus. Je préfère en perdre un peu que d’empoisonner le sol.
C’est marrant, j’ai jamais pensé à l’arrosage comme une arme contre les altises. D’habitude, je cours après avec un insecticide, mais l’idée de les noyer, ça me plaît bien !
Je suis curieux de savoir quel type de protection physique est recommandé. J’ai essayé les filets anti-insectes, mais ils sont vite devenus un vrai casse-tête pour l’entretien.
J’espère que cette méthode marche vraiment. L’année dernière, j’ai tout essayé et j’ai fini par arracher mes choux, tellement j’étais désespéré.
J’espère que la méthode est plus efficace que les promesses habituelles ! J’ai déjà perdu des salades, je ne voudrais pas que mes choux suivent le même chemin.
Les altises, c’est le cadet de mes soucis. Le vrai problème, c’est les limaces, elles, elles ne laissent rien !
Moi, ce qui m’inquiète, c’est le temps que ça prend. Entre le boulot et les enfants, je me demande si j’aurai vraiment le temps de m’occuper de ça en plus.
J’espère que cette méthode ne demande pas un doctorat en jardinage ! J’ai déjà du mal à différencier un chou d’une laitue, alors…
Je suis un peu perplexe. On dirait qu’il faut choisir entre manger des choux troués ou se lancer dans une guerre sans fin au potager. C’est usant, le jardinage!
Des choux troués, ça fait toujours un peu pitié. Mais bon, tant qu’ils ont du goût, ça ne me dérange pas tant que ça. L’esthétique parfaite au potager, c’est pas vraiment ma priorité.
Les altises, c’est la preuve que la nature est parfois têtue. J’espère que cette méthode marche, car l’idée d’abandonner mes choux me déprime.
Moi, les altises, ça me rappelle surtout mon enfance et le potager de mon grand-père. Des choux troués, oui, mais quel goût ! Finalement, c’est ça l’important, non ?
Ah, les altises… Un mal pour un bien finalement. Ça force à ralentir, à observer de près. Et puis, un chou un peu grignoté, c’est toujours mieux qu’un chou bourré de pesticides, non ?
Choux troués, choux gâchés… Je me demande si le jeu en vaut vraiment la chandelle. Peut-être que cette année, je me contenterai de carottes.
Je me demande si l’article explique vraiment la méthode simple promise. J’ai peur que ce soit encore un truc compliqué à mettre en œuvre.
Le titre est accrocheur, mais j’espère que la méthode « simple » ne sera pas trop coûteuse. Mon budget jardin est déjà bien entamé !
J’avoue, je suis du genre à arracher le chou et à le jeter quand je vois les premiers trous. La méthode vaut peut-être le coup, mais j’ai peur de m’acharner pour rien.
Moi, les altises, je les vois comme un indicateur. Si elles attaquent, c’est souvent que mon sol n’est pas au top. Je vais plutôt me concentrer là-dessus avant d’arroser plus.
Les altises et moi, c’est une longue histoire. Je me demande si cette méthode pense à la rotation des cultures, parce que c’est souvent là que le bât blesse.
J’espère que cette méthode marche pour les jeunes plants. C’est là qu’elles font le plus de dégâts, avant que le chou soit assez fort.
Les altises, c’est vrai que c’est pénible. Mais honnêtement, quelques trous, ça n’a jamais empêché de faire une bonne soupe. Je relativise, tant que ça ne décime pas tout.
Je suis toujours à la recherche de solutions douces pour mon jardin. J’espère que cette méthode « simple » est vraiment respectueuse de l’environnement et des autres insectes bénéfiques.
Moi, j’ai surtout envie de savoir si ça fonctionne vraiment. J’ai déjà essayé tellement de trucs… Si ça marche, chapeau !
Moi, les choux, c’est un peu la base de mon potager. Si je n’en ai plus, c’est un drame. Alors, cette histoire d’altises, ça m’intéresse forcément. J’espère que c’est plus efficace que le purin d’ortie que je fais d’habitude.
Les choux, c’est un peu comme mes enfants : je les surveille de près. J’espère que cette méthode ne demande pas trop de temps, parce que je suis déjà débordé.
Des choux troués, ça me rappelle les pulls de ma grand-mère ! Si cette méthode évite de sortir l’arsenal chimique, je suis preneur.
Franchement, les choux, c’est un peu le parent pauvre de mon potager. Si cette méthode est vraiment simple, je pourrais peut-être enfin leur accorder un peu d’attention.
Des choux sans trous… ça sonne presque trop beau pour être vrai ! On dirait une promesse de lessivier. J’attends de voir la méthode avant de m’emballer.
Des choux parfaits ? Mouais… J’ai un chat qui adore se planquer dedans, alors quelques trous d’altises, c’est le cadet de mes soucis.
Les altises, ça me rappelle surtout que j’ai oublié de semer les choux cette année. Trop occupé avec les tomates ! C’est peut-être pas plus mal, finalement.
Des choux sans trous, c’est joli, certes. Mais je me demande surtout si cette méthode ne va pas me prendre plus de temps que de simplement manger des choux un peu grignotés.
Les altises et moi, c’est une longue histoire… J’ai presque fini par accepter les feuilles grignotées comme un impôt à la nature. Tant que j’ai assez de chou pour la soupe, ça me va.
Les altises, c’est la vie. Ça prouve que mon jardin est un écosystème, non ? Tant qu’il y a des choux, je ne m’inquiète pas trop pour quelques trous.
Les altises, ça me stresse surtout pour le goût. Un chou trop attaqué devient amer, non ? Si cette méthode préserve la saveur, je suis client.
Moi, les altises, ça me fait surtout penser aux repas de famille interminables. Des choux parfaits, c’est peut-être un peu trop guindé pour mon jardin.
Les altises ? Le vrai problème, c’est leur nom ! Ça sonne comme une maladie incurable. Si la méthode est simple et écologique, je veux bien essayer, mais d’abord, faudrait renommer ces bestioles !
J’espère que la méthode est plus efficace que les solutions miracles que j’ai déjà testées ! J’ai l’impression de passer mon temps à courir après ces satanées altises.
Les altises, c’est le petit truc qui me rappelle que je suis pas paysan. Un peu de patience et ça finit toujours par pousser, non ?
Les altises… ça me rappelle surtout ma grand-mère qui disait que le chou, plus c’est troué, meilleur c’est pour la santé ! Une histoire de goût, sans doute.
Altises, altises… ça me fait penser à mon enfance. On disait qu’elles aimaient le chou plus que nous. J’espère que cette méthode ne perturbera pas trop leur menu.
Choux troués ou pas, l’important c’est qu’ils soient bons ! Si la méthode est compliquée, je préfère encore un peu de gruyère sur mes légumes.
Ah, les altises… Encore un truc à gérer au potager. J’espère juste que cette méthode « simple » est vraiment simple, parce que mon temps, lui, ne l’est pas.
Moi, je me demande surtout si cette méthode « simple » va vraiment tenir compte du fait que j’ai aussi des salades à côté de mes choux… J’ai pas envie de les sacrifier sur l’autel du chou parfait.
Moi, ça me rassure de voir que je suis pas le seul à me battre contre ces mini-monstres ! J’espère juste que la méthode est abordable financièrement.
Des choux en dentelle, c’est joli, mais pas au potager. J’espère que cette méthode est durable, pas juste un pansement sur une jambe de bois.
Moi, le chou, c’est pas trop mon truc. Si les altises pouvaient s’attaquer aux brocolis du voisin, ça m’arrangerait.
Choux troués, choux ratés… ça me décourage tellement ! J’espère que cette « méthode simple » est vraiment à la portée de tous, même des jardiniers du dimanche comme moi.
J’ai toujours pensé que ces petits trous donnaient un côté « authentique » au chou. Ça prouve qu’il a vécu, non ? Tant qu’il a du goût, ça me va.
J’ai une terre argileuse, ces bestioles adorent ça. La « méthode simple » va-t-elle vraiment marcher chez moi ou est-ce que je vais encore devoir sortir l’artillerie lourde ?
J’ai hâte de voir si cette méthode fonctionne vraiment ! Mes choux ressemblent à des œuvres d’art abstraites, mais je préférerais qu’ils soient comestibles.
Les altises, c’est la vie au potager, non ? Je me demande si on ne dramatise pas un peu. Un peu de patience et d’observation, c’est souvent la meilleure solution.
Franchement, je suis sceptique. À chaque « méthode simple », je crains le coup marketing déguisé. J’attends les témoignages avant d’investir temps et argent.
Le chou, c’est la galère ! Mais j’avoue, l’idée de la « protection physique » m’intrigue. J’ai déjà testé des insecticides bio, bof. On verra bien ce que ça donne.
Les altises, c’est un peu comme les impôts, on sait qu’elles vont arriver. L’important, c’est surtout d’accepter une petite perte et de quand même pouvoir manger du chou.
Moi, je dis qu’on devrait renommer les altises « artistes du potager ». Au moins, ça serait plus poétique. Mais bon, je vais quand même lire l’article attentivement.
Les altises, c’est le cadet de mes soucis ! J’ai plus de problèmes avec les limaces, elles me dévorent tout avant même que les altises n’aient le temps de pointer leur nez.
J’ai toujours cru que ces trous étaient le signe d’un chou bio ! Si une méthode douce existe, je suis preneur. Marre des produits chimiques.
Moi, le chou, c’est un peu comme une punition de mon enfance. Si je peux éviter les altises sans me prendre la tête, pourquoi pas… mais bon, c’est pas ma priorité au potager.
Le chou, c’est le légume que je rate systématiquement. J’espère que l’article va m’éviter un nouveau désastre. Croisons les doigts.
J’espère surtout que la méthode n’est pas trop chronophage. Le potager, c’est un plaisir, pas une corvée.
Des choux gruyère, ça me rappelle surtout les repas de cantine de mon enfance ! Si cette méthode marche, je pourrai peut-être enfin aimer ça.
Les altises… c’est pas le pire, mais quand ça arrive sur mes jeunes plants, c’est rageant. Je vais regarder cette histoire d’arrosage ciblé, ça peut être une solution moins contraignante que le voile.
J’ai plus de succès avec le brocoli qu’avec le chou… Mais je vais quand même jeter un coup d’œil, on ne sait jamais. Peut-être que cette méthode me réconciliera avec ce légume.
Le titre est prometteur, mais j’espère que la méthode est applicable aussi au chou kale. C’est mon péché mignon, et il attire ces bestioles comme un aimant.
Les altises et moi, c’est une longue histoire de résignation. Si cet article a une solution miracle, je suis tout ouïe. Sinon, tant pis, les choux auront un look troué.
« Arrosage ciblé », ça m’intrigue. J’ai souvent l’impression d’arroser plus les mauvaises herbes que les choux eux-mêmes, alors si ça peut aider… À voir.